On dit un proverbe, d'ordinaire : Après la mort le médecin ; mais vous verrez que, si je m'en mêle, on dira : Après le médecin, gare la mort ! |
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Cessez de lui vouloir donner la mort au cœur, |
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À rendre par sa mort tous vos désirs contents, |
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Être mort de la sorte ! |
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Être mort de la sorte ! |
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M'a fait en grande hâte ensevelir le mort, |
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Par le plaisir de voir faire honneur à sa mort ; |
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On n'a point pour la mort de dispense de Rome. |
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Comme depuis sa mort sa face est amaigrie ! |
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J'ai trop de répugnance à coudoyer un mort. |
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Mais avec cette mort un trésor supposé, |
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Je vous fis annoncer la mort de toutes deux : |
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Ou, si tu la lui dis, ajoute que ma mort |
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Ne parlons point de mort, ce n'en est pas le temps. |
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Et que sa mère fit un secret de sa mort, |
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La mort est un remède à trouver quand on veut, |
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Je n'ai pas grande faim de mort ni de blessure, |
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La mort ayant ravi ce petit innocent |
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Et la mort de ce fils mis dans votre famille, |
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Oui j'ai juré sa mort, rien ne peut m'empêcher, |
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Sur la mort que mon bras s'apprête à faire voir ; |
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Puisque pour vous venger je vous offre ma mort ; |
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Et sous cet équipage, et le bruit de ma mort, |
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Et son arrêt livrant mon espoir à la mort, |
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Loin d'agir en Amant, qui plus que la mort même, |
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