| Mon Dieu, notre Beau-père prétendu, ne vous fatiguez point tant ; on n'a pas envie de vous enlever votre Fille, et vos grimaces n'attraperont rien. |
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| Mon Dieu, tiens. |
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| Mon Dieu, mettez ; point de cérémonie entre nous, je vous prie. |
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| Vous qui semblez plutôt un Dieu qui par Miracle |
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| Mon Dieu, Scapin, fais-nous un peu ce récit, qu'on m'a dit qui est si plaisant, du stratagème dont tu t'es avisé, pour tirer de l'argent de ton Vieillard avare. |
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| Mon Dieu, qu'on est misérable, d'avoir des Gens comme cela ! |
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| Hé mon Dieu, j'ai quelques ordres à donner. |
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| Et les coups de Bâton d'un Dieu, |
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| Monsieur le Dieu, je suis votre Valet. |
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| Mon Dieu, Dorante, il faut des deux parts bien des qualités pour vivre heureusement ensemble ; et les deux plus raisonnables Personnes du Monde, ont souvent peine à composer une union dont ils soient satisfaits. |
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| Un Dieu plus Diable, que toi. |
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| Qui tout Dieu que je suis, dois être le Jaloux. |
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| Dieu me garde d'en vouloir parler ; ce ne serait pas agir en galant Homme, et le Diamant est fort peu de chose. |
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| Mon Dieu, tais-toi. |
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| Hé bien, je suis le Dieu le plus puissant des Dieux, |
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| Le Dieu du Fleuve paraît assis sur un amas de Joncs et de Roseaux, et appuyé sur une grande Urne, d'où sort une grosse source d'eau. |
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| J'aimais un Dieu, j'en étais adorée, |
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| Qui vous étiez, et quel était ce Dieu. |
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| Pouvais-je n'aimer pas le Dieu qui fait aimer, |
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| Ah mon Dieu, miséricorde ! |
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| Hélas, mon Dieu, mon mari est devenu fou. |
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| Était le Dieu qui fait qu'on aime, |
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| Et qui tout Dieu qu'il est, vous adorant lui-même, |
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| Nous refuser un cœur réservé pour un Dieu. |
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| Mon Dieu, Monsieur, mêlez-vous de vos affaires. |
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