Mon Dieu, tous ces Blondins sont agréables, et débitent fort bien leur fait ; mais la plupart sont gueux comme des Rats ; et il vaut mieux pour vous, de prendre un vieux Mari, qui vous donne beaucoup de bien. |
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Comment
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Mon Dieu, Frosine, c'est une étrange affaire, lorsque pour être heureuse, il faut souhaiter ou attendre le trépas de quelqu'un, et la mort ne suit pas tous les projets que nous faisons. |
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Comment
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Mon Dieu, j'ai une langue pour m'expliquer moi-même, et je n'ai pas besoin d'un Procureur comme vous. |
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Comment
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Dieu te gard', Cléanthis. |
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Comment
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Mon Dieu, que de façons ! |
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Comment
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Dieu te gard', Cléanthis. |
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Comment
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Mon Dieu, qu'as-tu ? |
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Question
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Mon Dieu, tu ne sais pas pourquoi, |
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Comment
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Mon Dieu, tout doucement ! |
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Comment
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Je sais mon métier, Dieu merci. |
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Comment
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Mon Dieu ne le maltraitez point. |
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Comment
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Un Dieu qui porte les excuses de tout ce qu'il fait faire : l'Amour. |
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Comment
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Cela n'est pas d'un Dieu bien plein de charité : |
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Comment
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Mon Dieu, Éraste, gardons d'être surpris ; je tremble qu'on ne nous voie ensemble ; et tout serait perdu, après la défense que l'on m'a faite. |
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Comment
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Mon Dieu, Nérine, que tu es sotte, de nous donner de ces frayeurs ! |
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Comment
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Mon Dieu, Éraste, contentez-vous de ce que je fais maintenant, et n'allez point
tenter sur l'avenir les résolutions de mon cœur : ne fatiguez point mon devoir par les
propositions d'une fâcheuse extrémité dont peut-être n'aurons-nous pas besoin ; et
s'il y faut venir, souffrez au moins que j'y sois entraînée par la suite des
choses. |
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Comment
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Mon Dieu, fort bon. |
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Comment
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Mon Dieu, vous prenez mes paroles trop en Philosophe. |
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Comment
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Mon Dieu, il ne me faut point tant de cérémonies, et je ne viens pas ici pour incommoder. |
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Comment
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Mon Dieu, laissez faire, ce n'est pas pour ce que vous pensez. |
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Comment
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Mon Dieu. |
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Comment
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Mon Dieu, je vous connais, vous êtes bon naturellement. |
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Comment
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À Dieu ne plaise, Monsieur, qu'il me tombe en pensée d'ajouter rien à ce que vous venez de dire : vous avez si bien discouru sur tous les signes, les symptômes et les causes de la maladie de Monsieur ; le raisonnement que vous en avez fait est si docte et si beau, qu'il est impossible qu'il ne soit pas fou, et mélancolique hypocondriaque ; et quand il ne le serait pas, il faudrait qu'il le devînt, pour la beauté des choses que vous avez dites, et la justesse du raisonnement que vous avez fait. |
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Comment
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Ah, ah, mon Dieu. |
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Comment
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Mon Dieu, Monsieur, ne vous arrêtez point à peu de chose. |
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Comment
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