Mon Dieu parce. |
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Mon Dieu, notre gendre, que vous avez peu de civilité de ne pas saluer les gens quand vous les approchez. |
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Mon Dieu, Monsieur de Sotenville, vous avez des indulgences qui n'appartiennent qu'à vous, et vous ne savez pas vous faire rendre par les gens ce qui vous est dû. |
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Ma fille est d'une race trop pleine de vertu pour se porter jamais à faire aucune chose dont l'honnêteté soit blessée, et de la maison de la Prudoterie, il y a plus de trois cents ans qu'on n'a point remarqué qu'il y ait eu une femme, Dieu merci, qui ait fait parler d'elle. |
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Jour de Dieu, je l'étranglerais de mes propres mains, s'il fallait qu'elle forlignât de l'honnêteté de sa mère. |
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Plût à Dieu que je les eusse dix mille écus ! |
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Mon Dieu, mon Père, vous n'avez pas lieu de vous plaindre ; et l'on sait que vous avez assez de bien. |
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Mon Dieu nous voyons clair. |
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Plût à Dieu que la mienne eût cette maladie, je me garderais bien de la vouloir guérir. |
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Ce n'est rien, Dieu merci. |
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Jour de Dieu, notre gendre, apprenez à parler. |
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Mon Dieu, vous allez voir. |
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Je n'ai pas, Dieu merci, les inclinations fort patibulaires ; et parmi mes confrères, que je vois se mêler de beaucoup de petits commerces, je sais tirer adroitement mon épingle du jeu, et me démêler prudemment de toutes les galanteries qui sentent tant soit peu l'échelle : mais, à vous dire vrai, il me donnerait, par ses procédés, des tentations de le voler ; et je croirais, en le volant, faire une action méritoire. |
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Hé, mon Dieu, Cléanthis, ils sont encore Amants. |
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Mon Dieu, tu n'es que trop honnête : |
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Mon Dieu, je sais l'art de traire les Hommes. |
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Ah, mon Dieu ! |
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Ah mon Dieu ! |
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Mon Dieu, vous toucherez assez ; et elles m'ont parlé d'un certain Pays où elles ont du bien, dont vous serez le maître. |
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Mon Dieu, arrêtez-vous, laissez-moi médicamenter cette Affaire. |
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Mais à cette fois, Dieu merci, les choses vont être éclaircies, et votre effronterie sera pleinement confondue. |
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Je n'en ai pas de grandes, Dieu merci. |
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mon Dieu, que j'ai eu de peine à trouver ce Logis : dites-moi un peu des Nouvelles du Médecin que je vous ai donné. |
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Mon Dieu, nous savons le train des Enfants dont les Pères se remarient, et de quel œil ils ont coutume de regarder ce qu'on appelle Belle-Mère. |
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Jour de Dieu, si vous y retournez, on vous apprendra le respect que vous devez à votre femme ; et à ceux de qui elle sort. |
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