Mon Dieu, ne gagez pas, vous perdriez vraiment. |
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Et des gigots, Dieu sait ! |
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Hé, mon Dieu ! |
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Mon Dieu ! |
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Hé, mon Dieu ! |
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Mon Dieu ! |
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Mon dieu ! |
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Mon dieu ! |
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Dieu me garde, Monsieur, d'être de ces fous-là. |
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Plût à Dieu qu'à ce prix, |
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Eh mon Dieu ! |
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Hé mon Dieu ! |
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Mon Dieu, le calcul est juste. |
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Je crois… Mon Dieu, sa Sœur, vous faites la discrète, |
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Je n'ai pas grande peine à le comprendre moi, et si tu connaissais le pèlerin, tu trouverais la chose assez facile pour lui ; je ne dis pas qu'il ait changé de sentiments pour Done Elvire, je n'en ai point de certitude encore ; tu sais que par son ordre je partis avant lui, et depuis son arrivée, il ne m'a point entretenu ; mais par précaution je t'apprends inter nos, que tu vois en Don Juan mon Maître le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un Diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel ni Saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale, ferme l'oreille à toutes les remontrances Chrétiennes qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons ; tu me dis qu'il a épousé ta Maitresse, crois qu'il aurait plus fait pour contenter sa passion, et qu'avec elle il aurait encore épousé toi, son chien et son chat ; un mariage ne lui coûte rien à contracter, il ne se sert point d'autre piège pour attraper les belles, et c'est un épouseur à toutes mains, Dame, Damoiselle, Bourgeoise, Paysanne ; Il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui, et si je te disais le nom de toutes celles qu'il a épousées en divers lieux, ce serait un chapitre à durer jusques au soir ; tu demeures surpris et changes de couleur à ce discours ; ce n'est là qu'une ébauche du personnage ; et pour en achever le portrait, il faudrait bien d'autres coups de pinceau : Suffit qu'il faut que le courroux du Ciel l'accable quelque jour, qu'il me vaudrait bien mieux d'être au Diable qu'à lui, et qu'il me fait voir tant d'horreurs que je souhaiterais qu'il fût déjà je ne sais où. |
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Eh mon Dieu ! |
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Dieu merci, vous êtes venu heureusement pour cela, et je me prépare désormais à me donner du divertissement, et à réparer comme il faut le temps que j'ai perdu. |
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Mon Dieu, cela n'est pas pressé. |
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Jour de Dieu, je saurai vous frotter les oreilles ; |
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mon Dieu. |
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Et s'il vient à roter, il lui dit, Dieu vous aide. |
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Mon Dieu, je ne sais si vous dites vrai ou non, mais vous faites que l'on vous croie. |
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Mon Dieu, c'est autre chose. |
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Mon Dieu ! |
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mon Dieu, ne faisons point de cérémonie : entrez vite, s'il vous plaît. |
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