Je ne sais où j'en suis, tant ma douleur est forte. |
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On pousse ma Douleur, et mes Soupçons à bout, |
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Dont mon Dos sent encore une douleur très forte. |
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Et que jamais n'oubliera ma douleur. |
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N'ont rien de comparable à ma vive douleur. |
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Lorsque dans l'Âme on souffre une vive douleur ! |
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Ses larmes n'étaient point de ces larmes désagréables, qui défigurent un visage ; Elle avait à pleurer, une grâce touchante ; et sa douleur était la plus belle du Monde. |
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Après quelques paroles, dont je tâchai d'adoucir la douleur de cette charmante Affligée, nous sortîmes de là ; et demandant à Léandre ce qu'il lui semblait de cette Personne, il me répondit froidement qu'il la trouvait assez jolie. |
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Voici ses propres mots, que la douleur, Madame, |
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Cette vive douleur dont je ressens les coups, |
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À cette douleur si cuisante, |
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Sans prétendre gêner la douleur que me donne |
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Je veux, je veux garder ma douleur à jamais, |
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De mon destin et de votre douleur. |
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Nous voulons bien mourir de douleur et d'amour. |
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Ah, c'est la douleur qui me trouble l'esprit. |
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de tous les côtés, mortelle est ma douleur ! |
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Hé bien, puisque vous vous souciez si peu de me tirer de peine, et de vous justifier du traitement indigne que vous avez fait à ma flamme, vous me voyez, ingrate, pour la dernière fois, et je vais loin de vous mourir de douleur et d'amour. |
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J'entends moins de soupirs d'amour que de douleur, |
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La plus juste douleur, qui d'un beau désespoir |
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Et quelque douleur qui m'abatte, |
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Rendez à mon amour, rendez à ma douleur |
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Dans ce destin fatal la douleur me commande. |
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Si ma juste douleur peut devenir mortelle, |
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Mais où m'emporte ici l'excès de la douleur ? |
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Question
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