D'excuser de tantôt son trop de violence, |
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Mais aussi, raisonnons un peu sans violence ; |
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Et plein de violence, |
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Une douleur de tête y peint sa violence, |
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Et de faire à mes vœux autant de violence, |
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La pauvre infortunée aime avec violence ; |
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Et j'ai de mes transports forcé la violence, |
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Se pouvait emporter à quelque violence, |
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sans doute, un amour a peu de violence, |
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Mon courroux n'a déjà que trop de violence, |
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Mais les peuples émus par cette violence |
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Malgré l'effort d'un long mépris,
Le Tyran toujours m'aime, et depuis votre absence,
Vers moi pour me porter au dessein qu'il a pris,
Il semble avoir tourné toute sa violence,
Dont il poursuivait l'alliance
De vous et de son Fils. |
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Il semble avoir tourné toute sa violence, |
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Cédez comme moi, Prince, à cette violence, |
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Il ne veut rien devoir à cette violence |
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Que le devoir vous fait un peu de violence. |
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Et ce Monsieur de la Souche, enfin, qu'on nous fait un homme d'esprit, et qui paraît si sérieux en tant d'endroits, ne descend-il point dans quelque chose de trop Comique, et de trop outré au cinquième Acte, lorsqu'il explique à Agnès la violence de son amour avec ces roulements d'yeux extravagants, ces soupirs ridicules, et ces larmes niaises qui font rire tout le monde ? |
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Question
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Est-ce que dans la violence de la passion ?… |
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Question
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Traîtres, qu'avez-vous fait par cette violence ? |
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Question
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L'un l'autre ils s'accusaient de cette violence, |
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Et qu'avec violence il veut ce qu'il désire ! |
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Tant pis pour qui me force à cette violence ; |
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Où, par la violence, on fait mal ses affaires. |
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Comment
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De ce devoir sacré, la juste violence |
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Comment
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Pourquoi, Monsieur, nous obligez-vous à cette violence ? |
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Question
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