J'aime une Fille, que je veux épouser ; et le pendard a l'insolence de l'aimer avec moi, et d'y prétendre malgré mes ordres. |
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Comment
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Je veux aller quérir la justice, et faire donner la Question à toute la Maison ; à Servantes, à Valets, à Fils, à Fille, et à moi aussi. |
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Comment
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Vous en userez comme vous voudrez, et me voilà prêt à souffrir toutes les violences qu'il vous plaira ; mais je vous prie de croire, au moins, que s'il y a du mal, ce n'est que moi qu'il en faut accuser, et que votre Fille en tout ceci n'est aucunement coupable. |
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Comment
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Oui, Monsieur, elle a été témoin de notre engagement ; et c'est après avoir connu l'honnêteté de ma flamme, qu'elle m'a aidé à persuader votre Fille de me donner sa foi, et recevoir la mienne. |
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Que nous brouilles-tu ici de ma Fille ? |
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Question
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De votre Fille ; et c'est seulement depuis hier qu'elle a pu se résoudre à nous signer mutuellement une Promesse de Mariage. |
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Oui, mon Père, c'est celui qui me sauva de ce grand péril que vous savez que je courus dans l'eau, et à qui vous devez la vie de cette même fille, dont… |
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Comment
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On m'assassine dans le bien, on m'assassine dans l'honneur ; et voilà un traître, un scélérat, qui a violé tous les droits les plus saints ; qui s'est coulé chez moi sous le titre de Domestique, pour me dérober mon argent, et pour me suborner ma Fille. |
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Comment
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Je ne vois pas quel crime on me peut faire de la passion que j'ai pour votre Fille, et le supplice où vous croyez que je puisse être condamné pour notre engagement, lorsqu'on saura ce que je suis… |
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Comment
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Oui ma Fille, oui mon Fils, je suis D. |
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Comment
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Avec une Fille du seigneur Géronte ? |
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Question
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Et que cette Fille est mandée de Tarente ici pour cela ? |
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Question
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Comme nous sommes grands Amis, il me fit aussitôt confidence de son amour, et me mena voir cette Fille, que je trouvai belle à la vérité, mais non pas tant qu'il voulait que je la trouvasse. |
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Comment
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On lui dit que la Fille, quoique sans bien, et sans appui, est de Famille honnête ; et qu'à moins que de l'épouser, on ne peut souffrir ses poursuites. |
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Comment
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Maintenant mets avec cela le retour imprévu du Père, qu'on n'attendait que dans deux mois ; La découverte que l'Oncle a faite du secret de notre Mariage, et l'autre Mariage qu'on veut faire de lui avec la Fille que le seigneur Géronte a eue d'une seconde Femme qu'on dit qu'il a épousée à Tarente. |
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Comment
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Et que n'ai-je à cette heure la Fille que le Ciel m'a ôtée, pour la faire mon Héritière ! |
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ma Fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts, |
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Comment
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Je veux bien l'étaler, ma Fille, aux yeux de tous, |
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Comment
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Chez le bon Homme Oronte, assurément, dont il vient épouser la Fille, et qui ne sachant rien de l'infirmité de son Gendre futur, voudra peut-être se hâter de conclure le Mariage. |
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Comment
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Vous avez, Monsieur, un certain Monsieur de Pourceaugnac, qui doit épouser votre Fille. |
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Comment
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Je reçus d'eux en toi, ma Fille, |
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Comment
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Les Médecins sont obligés au secret : Il suffit que je vous ordonne, à vous et à votre Fille, de ne point célébrer, sans mon consentement, vos Noces avec lui, sur peine d'encourir la disgrâce de la Faculté, et d'être accablés de toutes les Maladies qu'il nous plaira. |
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Comment
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L'est, Montsir, que sti Montsir Oronte donne son Fille en mariage à un certe Montsir de Pourcegnac. |
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Comment
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Oui, Montsir ; et depuis huite mois, nous avoir obtenir un petit Santence contre lui, et lui à remettre à payer tou ce Créanciers de sti Mariage que sti Montsir Oronte donne pour son Fille. |
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Comment
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J'ai donc été trouver le Frère de cette Fille qui a été épousée. |
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Comment
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