Oui, ma fille, et je vois qu'en sagesse, et en courage tu te montres un digne rejeton de la maison de Sotenville. |
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Comment
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Embrasse-moi aussi, ma fille. |
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Comment
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Où allez-vous, ma fille ? |
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Question
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Par ma foi c'est une fille qui vaut de l'argent, et je l'aime de tout mon cœur. |
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Comment
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Va-t'en voir un peu, ce que fait ma Fille. |
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Comment
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Votre fille en aura besoin. |
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Comment
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Monsieu, velà votre Fille qui veut un peu marcher. |
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Comment
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Elle doit après dîner rendre visite à votre Fille, d'où elle fait son compte d'aller faire un tour à la Foire, pour venir ensuite au souper. |
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Comment
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Mais, Frosine, as-tu entretenu la Mère touchant le bien qu'elle peut donner à sa Fille ? |
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Question
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Car encore n'épouse-t-on point une Fille, sans qu'elle apporte quelque chose. |
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Comment
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c'est une Fille qui vous apportera douze mille livres de rente. |
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Comment
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(En cet endroit, il tire Géronte à un bout du théâtre, et lui passant un bras sur les épaules, lui rabat la main sous le menton, avec laquelle il le fait retourner vers lui, lorsqu'il veut regarder ce que sa fille et l'apothicaire font ensemble, lui tenant, cependant, le discours suivant pour l'amuser.) |
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Comment
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Voilà ma fille qui parle. Ô grande Vertu du Remède !Ô admirable Médecin !Que je vous suis obligé, Monsieur, de cette guérison merveilleuse : et que puis-je faire pour vous, après un tel service ? |
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Question
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La Fille est jeune, comme tu vois ; et les jeunes gens d'ordinaire n'aiment que leurs semblables, ne cherchent que leur compagnie. |
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Comment
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Et je crois qu'elle aurait été fille à s'en aller avec lui. |
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Comment
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Il a fait enlever la Fille de notte Maître. |
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Comment
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Monsieur, je viens faire paraître Léandre à vos yeux, et remettre Lucinde en votre pouvoir, nous avons eu dessein de prendre la fuite nous deux, et de nous aller marier ensemble : mais cette entreprise a fait place à un procédé plus honnête : je ne prétends point vous voler votre Fille, et ce n'est que de votre main que je veux la recevoir : ce que je vous dirai, Monsieur, c'est que je viens tout à l'heure de recevoir des lettres, par où j'apprends que mon oncle est mort, et que je suis héritier de tous ses biens. |
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Comment
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Monsieur, votre Vertu m'est tout à fait considérable, et je vous donne ma Fille, avec la plus grande joie du Monde. |
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Comment
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Pour vous, ma Fille, vous aurez l'œil sur ce que l'on desservira, et prendrez garde qu'il ne s'en fasse aucun dégât. |
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Comment
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Descendez, ma fille, et venez ici. |
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Comment
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Allons, venez, ma fille, que votre mari vous demande pardon. |
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Comment
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Ma fille, de semblables séparations ne se font point sans grand scandale, et vous devez vous montrer plus sage que lui, et patienter encore cette fois. |
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Comment
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Il le faut, ma fille, et c'est moi qui vous le commande. |
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Comment
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Voilà, belle mignonne, ma Fille, qui vient vous saluer. |
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Comment
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A-t-elle écouté, pour sa Fille, votre proposition ? |
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Question
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