Chez le bonhomme Gorgibus, voir sa fille, qui est malade ; mais tu es un lourdaud qui, au lieu de bien faire, pourrais bien... |
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Comment
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Allez vitement chercher un médecin ; car ma fille est bien malade, et dépêchez-vous. |
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Comment
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Pourquoi vouloir donner votre fille à un vieillard ? |
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Question
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Je m'en vais chercher un médecin pour moi aussi bien que pour votre fille ; je suis désespéré. |
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Comment
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Je vous envoie quérir pour voir ma fille, qui est malade ; je mets toute mon espérance en vous. |
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Ce n'est pas lui qui est malade, c'est sa fille. |
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Comment
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Il n'importe : le sang du père et de la fille ne sont qu'une même chose ; et par l'altération de celui du père, je puis connaître la maladie de la fille. |
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Comment
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Oui-da ; Sabine, vite allez quérir de l'urine de ma fille. |
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Comment
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Monsieur Gorgibus, votre fille ne pisse que des gouttes ! |
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Comment
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Voilà une pauvre pisseuse que votre fille ; je vois bien qu'il faudra que je lui ordonne une potion pissative. |
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Comment
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cent belles choses ; et comme les humeurs qui ont de la connexité ont beaucoup de rapport ; car, par exemple, comme la mélancolie est ennemie de la joie, et que la bile qui se répand par le corps nous fait devenir jaunes, et qu'il n'est rien plus contraire à la santé que la maladie, nous pouvons dire, avec ce grand homme, que votre fille est fort malade. |
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Comment
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J'ai ouï dire que la fille de M. |
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Comment
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Ayant appris la maladie de Mademoiselle votre fille, je vous suis venu témoigner la part que j'y prends, et vous faire offre de tout ce qui dépend de moi. |
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Comment
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Je me suis introduit chez lui, et lui ai conseillé de faire prendre l'air à sa fille, laquelle est à présent dans un appartement qui est au bout de leur jardin, tellement qu'elle est fort éloignée du vieillard, et que vous pouvez l'aller voir commodément. |
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Comment
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Cependant qu'il vous trompe et joue la farce chez vous, Valère et votre fille sont ensemble, qui s'en vont à tous les diables. |
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Comment
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Monsieur, qu'allez-vous faire de me pendre ?
Écoutez un mot, s'il vous plaît : il est vrai que c'est par mon invention que mon maître est avec votre fille ; mais en le servant, je ne vous ai point désobligé : c'est un parti sortable pour elle, tant pour la naissance que pour les biens. |
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Question
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Cette fille a du cœur, et dans l'adversité, |
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Comment
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Madame la Nature avait fait une fille, |
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Comment
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Le Ciel, dont la bonté prend souci de ma vie,
Vient de me faire ouïr par un bruit assez doux,
Que ma fille à quatre ans par des voleurs ravie,
Sous le nom de Célie est esclave chez vous. |
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Comment
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Que ma fille à quatre ans par des voleurs ravie, |
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Comment
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Si vous sûtes jamais ce que c'est qu'être père,
Et vous trouvez sensible aux tendresses du sang,
Conservez-moi chez vous cette fille si chère,
Comme si de la vôtre elle tenait le rang. |
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Comment
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Conservez-moi chez vous cette fille si chère, |
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Comment
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J'allais mettre en l'instant cette fille en ses mains ; |
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Comment
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Est sa fille, autrefois par des voleurs ravie ; |
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Comment
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On ne peut imposer de tache à cette fille : |
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Comment
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