Est venu nous laisser, jusque dans la Cuisine, |
|
Comment
|
Est venu vous chercher avec empressement ; |
|
Comment
|
Non, je n'y suis venu que pour voir la Fête de demain. |
|
Comment
|
Vous n'aviez qu'à le faire, vous auriez été bien venu. |
|
Comment
|
Quant à ton Frère, je lui destine une certaine Veuve dont ce matin on m'est venu parler ; et pour toi, je te donne au Seigneur Anselme. |
|
Comment
|
Et j'étais venu, je vous jure, |
|
Comment
|
Morbleu, Monsieur le nouveau venu, qui faites l'Homme d'importance, ce n'est pas votre affaire. |
|
Comment
|
Ou bien que de lui-même, il soit venu sans guide, |
|
Comment
|
Dont tu m'as su traiter, étant venu du Port ? |
|
Question
|
Tous les malheurs des Hommes, tous les revers funestes dont les Histoires sont remplies, les bévues des Politiques, et les manquements des grands Capitaines, tout cela n'est venu que faute de savoir danser. |
|
Comment
|
Je crois, Monsieur, que vous êtes le Médecin à qui l'on est venu parler de ma part. |
|
Comment
|
Vous êtes fou, mon Mari, avec toutes vos fantaisies, et cela vous est venu depuis que vous vous mêlez de hanter la Noblesse. |
|
Comment
|
Ce moment est venu qu'il faut que votre bouche |
|
Comment
|
On lui a fait croire que cet autre est plus riche que moi de quatre ou cinq mille écus ; et quatre ou cinq mille écus est un denier considérable, et qui vaut bien la peine qu'un Homme manque à sa parole : Mais oublier en un moment toute l'ardeur que je vous ai montrée, vous laisser d'abord enflammer d'amour pour un nouveau venu, et le suivre honteusement sans le consentement de Monsieur votre Père, après les crimes qu'on lui impute, c'est une chose condamnée de tout le monde, et dont mon cœur ne peut vous faire d'assez sanglants reproches. |
|
Comment
|
Il est vrai qu'il y est venu, mais c'est assez pour lui de savoir que vous n'y étiez pas pour l'obliger à sortir. |
|
Comment
|
Il est vrai qu'il y est venu, mais c'est assez pour lui de savoir que vous n'y étiez pas pour l'obliger à sortir. |
|
Comment
|
Vous voilà venu à propos pour recevoir un petit sacrifice que je veux bien vous faire. |
|
Comment
|
Vous voilà venu à propos pour recevoir un petit sacrifice que je veux bien vous faire. |
|
Comment
|
Je veux dire, que je ne trouve point étrange que vous vous rendiez au mérite de Monsieur le Vicomte, vous n'êtes pas la première Femme qui joue dans le monde de ces sortes de caractères, et qui ait auprès d'elle un Monsieur le Receveur, dont on lui voit trahir, et la passion, et la bourse pour le premier venu qui lui donnera dans la vue ; mais ne trouvez point étrange aussi que je ne sois point la dupe d'une infidélité si ordinaire aux coquettes du temps, et que je vienne vous assurer devant bonne compagnie, que je romps commerce avec vous, et que Monsieur le Receveur ne sera plus pour vous Monsieur le donneur. |
|
Comment
|
J'y suis, j'y suis venu mille fois mieux que toi. |
|
Comment
|
N'es-tu venu pour autre chose ici ? |
|
Question
|