Je vous laisse à penser ce que c'aurait été. |
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Puisque la chose est faite, il n'y faut plus penser : |
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Été sans y penser te faire cette frasque ! |
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J'ai l'esprit délicat plus qu'on ne peut penser, |
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C'est la coutume ici, qu'à nous autres gens de condition, les Auteurs viennent lire leurs Pièces nouvelles, pour nous engager à les trouver belles, et leur donner de la réputation, et je vous laisse à penser, si quand nous disons quelque chose le parterre ose nous contredire. |
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Monsieur, je vous assure que vous m'obligez beaucoup de me tenir quelquefois compagnie, mon mari est si mal bâti, si débauché, si ivrogne, que ce m'est un supplice d'être avec lui, et je vous laisse à penser quelle satisfaction on peut avoir d'un rustre comme lui. |
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se font sans y penser, |
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Et pourriez-vous penser que mon cœur eût aimé, |
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Vous pouvez le penser, et vous me l'osez dire ? |
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Question
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Vous-même vous verrez ce qu'on en doit penser. |
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Sans en avoir l'envie, et sans penser le faire. |
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Je le puis bien penser. |
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Je te laisse à penser, si, sur cette matière, |
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Et je les vois, Marquis, comme tu peux penser, |
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Sur lui sans y penser, fis-je choir quelque chose ? |
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Question
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Sur lui sans y penser, fis-je choir quelque chose ? |
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Question
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Voyez, sans y penser où vous vous étiez mise. |
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Don Juan, vous voyez que j'ai soin de vous rendre le bien que j'ai reçu de vous, et vous pouvez par là juger du reste, et croire que je m'acquitte avec même chaleur de tout ce que je dois, et que je ne serai pas moins exact à vous payer l'injure que le bienfait ; je ne veux point vous obliger à m'expliquer ici vos sentiments, et je vous donne la liberté de penser à loisir aux résolutions que vous avez à prendre ; vous connaissez assez la grandeur de l'offense que vous nous avez faite, et je vous fais juge vous-même des réparations qu'elle demande : il est des moyens doux pour nous satisfaire, il en est de violents et sanglants ; mais enfin, quelque choix que vous fassiez, vous m'avez donné parole de me faire faire raison par Don Juan, songez à me la tenir je vous prie, et vous ressouvenez que hors d'ici je ne dois plus qu'à mon honneur. |
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Sachez Monsieur que tant va la cruche à l'eau qu'enfin elle s'y brise, et comme dit fort bien cet auteur que je ne connais pas, que l'homme est en ce monde ainsi que l'oiseau sur la branche, la branche est attachée à l'arbre, qui s'attache à l'arbre suit de bons préceptes : les bons préceptes valent mieux que les belles paroles, les belles paroles se trouvent à la Cour, à la Cour sont les Courtisans, les Courtisans suivent la mode, la mode vient de la fantaisie, la faculté de l'âme est ce qui nous donne la vie, la vie finit par la mort, la mort nous fait penser au Ciel, le Ciel est au-dessus de la terre, la terre n'est point la mer, la mer est sujette aux orages, les orages tourmentent les vaisseaux, les vaisseaux ont besoin d'un bon pilote, un bon pilote a de la prudence, la prudence n'est point dans les jeunes gens, les jeunes gens doivent obéissance aux vieux, les vieux aiment les richesses, les richesses font les riches, les riches ne sont pas pauvres, les pauvres ont de la nécessité, la nécessité n'a point de loi, qui n'a point de loi vit en bête brute, et par conséquent vous serez damné à tous les Diables. |
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Je vous laisse à penser si dans la nuit obscure, |
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Le seul penser de cette ingratitude |
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J'ai quelque lieu, Marquis, de le penser ainsi. |
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Vous pouvez bien penser quel Parti je sus prendre ; |
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Des libertés où l'on s'abandonne sans y penser de mal, et qui sans doute dans le fond n'ont rien de… |
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Et que sans y penser, je ne fis jamais mieux, |
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