Ils ont de ce Pays de quoi se contenter, |
|
Comment
|
Non pas, mais à vue de pays je connais à peu près le train des choses, et sans qu'il m'ait encore rien dit, je gagerais presque que l'affaire va là. |
|
Comment
|
Ce sont Fiefs qu'à bon titre au Pays on renomme ; |
|
Comment
|
Qu'on peut, par tout Pays, être content de soi. |
|
Comment
|
Doit faire, en ce Pays, fort peu de résidence. |
|
Comment
|
C'est le Seigneur de notre pays, Monsieur le Vicomte de chose… foin je ne me souviens jamais comment diantre ils baragouinent ce nom-là, monsieur Cli... |
|
Comment
|
Mon Dieu, vous toucherez assez ; et elles m'ont parlé d'un certain Pays où elles ont du bien, dont vous serez le maître. |
|
Comment
|
Je sais que vos appas frappent assez les yeux, sont assez visibles d'eux-mêmes, et qu'il n'est pas besoin de lunettes pour les apercevoir : mais enfin c'est avec des lunettes qu'on observe les Astres, et je maintiens et garantis que vous êtes un Astre, mais un Astre, le plus bel Astre qui soit dans le Pays des Astres. |
|
Comment
|
Madame, voilà un Illustre, votre affaire ne pouvait être mise en de meilleures mains,
et c'est le Héros de notre Siècle pour les exploits dont il s'agit : Un Homme qui
vingt fois en sa vie pour servir ses Amis, a généreusement affronté les Galères ; qui
au péril de ses bras et de ses épaules, sait mettre noblement à fin les aventures les
plus difficiles ; et qui, tel que vous le voyez, est exilé de son Pays pour je ne sais
combien d'actions honorables qu'il a généreusement entreprises. |
|
Comment
|
Je vous ai vu ce matin, Monsieur, avec le Coche, lorsque vous avez déjeuné ; et la grâce avec laquelle vous mangiez votre pain, m'a fait naître d'abord de l'amitié pour vous : Et comme je sais que vous n'êtes jamais venu en ce Pays, et que vous y êtes tout neuf, je suis bien aise de vous avoir trouvé pour vous offrir mon service à cette arrivée, et vous aider à vous conduire parmi ce Peuple, qui n'a pas parfois pour les honnêtes Gens toute la considération qu'il faudrait. |
|
Comment
|
Vous regardez mon habit qui n'est pas fait comme les autres ; mais je suis originaire de Naples, à votre service, et j'ai voulu conserver un peu et la manière de s'habiller, et la sincérité de mon Pays. |
|
Comment
|
Non, belle Hyacinte, il n'y a point de Père qui puisse me contraindre à vous manquer de foi, et je me résoudrai à quitter mon Pays, et le jour même, s'il est besoin, plutôt qu'à vous quitter. |
|
Comment
|
Il pleut en ce Pays des Femmes et des Lavements. |
|
Comment
|
Oui, les choses s'acheminent où nous voulons : Et comme ses lumières sont fort petites, et son sens le plus borné du monde, je lui ai fait prendre une frayeur si grande de la sévérité de la Justice de ce Pays, et des apprêts qu'on faisait déjà pour sa mort, qu'il veut prendre la fuite ; et pour se dérober avec plus de facilité aux Gens que je lui ai dit qu'on avait mis pour l'arrêter aux Portes de la Ville, il s'est résolu à se déguiser, et le déguisement qu'il a pris est l'habit d'une Femme. |
|
Comment
|
N'importe, ils ne s'enquêtent point de cela ; et puis ils ont en cette Ville une haine effroyable pour les Gens de votre Pays, et ils ne sont point plus ravis que de voir pendre un Limosin. |
|
Comment
|
Il a un train tout à fait magnifique ; tout le Monde le va voir, et il a été reçu en ce Pays comme un Seigneur d'importance. |
|
Comment
|
Enfin, pour achever mon Ambassade, il vient vous demander votre Fille en mariage ; et pour avoir un Beau-Père qui soit digne de lui, il veut vous faire Mamamouchi, qui est une certaine grande Dignité de son pays. |
|
Comment
|
Que deux Nymphes d'un rang le plus haut du pays, |
|
Comment
|
Quitter mon pays, et mes pauvres parents ! |
|
Comment
|
J'approche mon pays. |
|
Comment
|
Allons nous-en plutôt au pays de Cocagne, |
|
Comment
|