Vous faire dire vrai, puisqu'ainsi l'on m'outrage. |
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Mais puisqu'on reconnaît si mal mes bons offices, |
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Puisqu'en vous, il est faux, que songes sont mensonges. |
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Mais puisqu'un même jour nous met tous dans la joie, |
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Oui, oui, me voilà prêt, puisqu'on m'y veut forcer ; |
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Ma foi je m'y suis mépris à cause qu'il est vêtu comme un Médecin, j'ai cru qu'il lui fallait parler d'argent, mais puisqu'il n'en veut point, il n'y a rien de plus aisé que de le contenter, je m'en vais courir après lui. |
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Adieu donc puisqu'ainsi est, bonsoir, latine, bona nox. |
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Puisqu'on tient à bon droit tout crime personnel, |
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Puisqu'un pareil discours émeut votre colère, |
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Ainsi puisqu'en votre âme un Prince magnanime… |
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Mais puisqu'il faut parler, désirez-vous savoir, |
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Pourquoi le démentir, puisqu'il est de ma main ? |
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Question
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J'ai fait plus que cela, puisqu'il vous faut tout dire, |
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Et puisqu'elle vous blâme, et que sa fantaisie, |
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Et puisqu'il veut périr, consentons qu'il périsse ; |
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Je voudrais bien savoir, puisqu'il faut tout entendre, |
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Oui, vous me la gâtez, puisqu'il faut parler net. |
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Frotte donc, puisqu'il faut que j'en passe par là. |
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Elle ne dit pas un mot, qui de soi ne soit fort honnête ; et si vous voulez entendre dessous quelque autre chose, c'est vous qui faites l'ordure, et non pas elle ; puisqu'elle parle seulement d'un ruban qu'on lui a pris. |
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Puisqu'il ne me dit rien de tout ce qui me touche. |
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Puisqu'à moins d'un arrêt je ne m'en puis défaire, |
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Pour ce qui est des enfants par l'oreille, ils ne sont plaisants que par réflexion à Arnolphe ; et l'Auteur n'a pas mis cela pour être de soi un bon mot : mais seulement pour une chose qui caractérise l'homme, et peint d'autant mieux son extravagance, puisqu'il rapporte une sottise triviale qu'a dite Agnès, comme la chose la plus belle du monde et qui lui donne une joie inconcevable. |
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volontiers, dis-je, et puisqu'il est ainsi,
Il peut tant qu'il voudra me venir voir ici. |
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volontiers, dis-je, et puisqu'il est ainsi, |
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Comment
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Je vous avoue, Madame, que je n'ai point le talent de dissimuler, et que je porte un cœur sincère, je ne vous dirai point que je suis toujours dans les mêmes sentiments pour vous, et que je brûle de vous rejoindre, puisqu'enfin il est assuré que je ne suis parti que pour vous fuir, non point pour les raisons que vous pouvez vous figurer, mais par un pur motif de conscience, et pour ne croire pas qu'avec vous davantage je puisse vivre sans péché ; il m'est venu des scrupules Madame, et j'ai ouvert les yeux de l'âme sur ce que je faisais, j'ai fait réflexion que pour vous épouser je vous ai dérobée à la clôture d'un convent, que vous avez rompu des vœux qui vous engageaient autre part, et que le Ciel est fort jaloux de ces sortes de choses. |
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