J'ai bien peur que ses yeux resserrent votre chaîne. |
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Et le ravissement où j'étais de mes fers |
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Je romps avecque vous, et j'y romps pour jamais, |
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Si j'avais jamais fait cette bassesse insigne, |
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J'en rougis de dépit. |
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J'en rougis de dépit. |
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J'en suis gonflé de rage : |
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Mais j'en ferai du feu jusques à la dernière. |
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Et des tiennes tu sais ce que j'en saurai faire ? |
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Question
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Ne me lorgne point, toi ; j'ai l'esprit trop touché. |
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J'en serai moins léger à gagner le taillis : |
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Quand j'y devrais trouver cent embûches mortelles, |
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Et j'ai peur de vous nuire. |
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Mais j'aurais un regret mortel, si j'étais cause |
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J'ai deux amis aussi que je vous puis donner, |
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Et j'ai su le secret que cachaient ces habits. |
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J'ai songé cette nuit de perles défilées, |
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J'ai dû vous offenser, et je suis criminel |
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Et, si j'ai pu trouver sujet de balancer, |
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Et j'en prends à témoin votre père lui-même. |
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Pour moi je vous avoue que j'en suis tout scandalisé. |
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J'ai un certain valet nommé Mascarille, qui passe au sentiment de beaucoup de gens pour une manière de bel esprit, car il n'y a rien à meilleur marché que le bel esprit maintenant. |
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Ce que j'en prétends faire ! |
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Encore un coup mon père, il ne se peut rien de plus Marchand que ce procédé, et j'ai mal au cœur de la seule vision que cela me fait. |
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Comment
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J'ai remarqué encore que leurs rabats ne sont pas de la bonne faiseuse, et qu'il s'en faut plus d'un grand demi-pied, que leurs hauts-de-chausses, ne soient assez larges. |
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Comment
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