Il est vrai, j'ai tardé trop longtemps |
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Mais… Ce que j'en ai dit, n'est pas que je vous presse. |
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Il est très naturel, et j'en suis bien de même : |
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Moi, je sais que j'y tiens une assez bonne place. |
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J'ai su qu'en ses amours ton maître était trop bien ; |
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J'ai plaint le faux espoir dont on vous repaissait. |
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J'y consens, rompez-moi les jambes et les bras ; |
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En tout ce que j'ai dit ici la moindre chose. |
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Et que voilà l'état, infâme, que j'en fais. |
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que j'ai de peine à rompre mon silence ! |
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J'ai su, qu'en secret même, il lui faisait du bien ; |
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J'ai de quoi toutefois surprendre plus votre âme : |
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Dont j'ai conduit le fil de cette tromperie, |
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J'ai poussé jusqu'au bout un projet si hardi, |
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Aurait, si j'étais fille, un peu trop su me plaire ; |
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J'ai l'esprit délicat plus qu'on ne peut penser, |
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Et que, si j'étais fille, une flamme plus forte |
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J'ai bientôt à vous dire un important mystère, |
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Et j'ai quelque secret de même à vous ouvrir, |
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C'est que j'ai de l'amour qui n'oserait paraître, |
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J'ai besoin pour cela de l'aveu de quelque autre. |
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Adieu ; j'en suis content. |
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Adieu ; j'en suis content. |
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Et je sais pour son cœur tout ce que j'en dois croire : |
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L'aventure me passe et j'y perds mon latin. |
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