Mais sa raison n'est pas maintenant la maîtresse : |
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Sa maîtresse en nos mains tomber par cette voie ! |
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Cette fourbe en mes mains va mettre sa maîtresse ; |
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Et, comme pour résoudre avec votre maîtresse, |
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La maîtresse ne peut abuser votre foi, |
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Ma maîtresse en un mot. |
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Ma maîtresse en un mot. |
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Vos chagrins font ouvrir les yeux d'une maîtresse ; |
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Ma maîtresse au jardin vous permet de la voir. |
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Va, sors de ma présence, et dis à ta maîtresse, |
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De servir vos ardeurs pour quelque autre maîtresse. |
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Il n'est rien de plus vrai, ma très chère maîtresse, |
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Ma maîtresse se meurt. |
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Ma maîtresse se meurt. |
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Allant se mettre entre Lélie et sa maîtresse. |
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Je veux voir ta Maîtresse. |
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Ni ce que sur un cœur une Maîtresse peut. |
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Il nous fait au logis garder notre Maîtresse ? |
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Question
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Pour moi, je trouve que la beauté du sujet de L'École des Femmes consiste dans cette confidence perpétuelle ; et ce qui me paraît assez plaisant, c'est qu'un homme qui a de l'Esprit et qui est averti de tout par une innocente qui est sa maîtresse et par un étourdi qui est son rival, ne puisse avec cela éviter ce qui lui arrive. |
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Comment
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Et pour la Scène d'Alain et de Georgette dans le logis, que quelques-uns ont trouvée longue et froide, il est certain qu'elle n'est pas sans raison ; et de même qu'Arnolphe se trouve attrapé pendant son voyage, par la pure innocence de sa maîtresse, il demeure au retour longtemps à sa porte par l'innocence de ses valets, afin qu'il soit partout puni par les choses qu'il a cru faire la sûreté de ses précautions. |
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Comment
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De secourir ici l'oncle de ma Maîtresse. |
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Comment
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Si bien donc, cher Gusman que Done Elvire, ta Maîtresse, surprise de notre départ, s'est mise en campagne après ; et son cœur, que mon Maître a su toucher trop fortement, n'a pu depuis vivre sans le venir chercher ici ; Veux-tu qu'entre nous, je te dise ma pensée, j'ai peur qu'elle soit mal payée de son amour, que son voyage en cette ville produise peu de fruit, et que vous eussiez autant gagné à ne bouger de là. |
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Comment
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Je n'ai pas grande peine à le comprendre moi, et si tu connaissais le pèlerin, tu trouverais la chose assez facile pour lui ; je ne dis pas qu'il ait changé de sentiments pour Done Elvire, je n'en ai point de certitude encore ; tu sais que par son ordre je partis avant lui, et depuis son arrivée, il ne m'a point entretenu ; mais par précaution je t'apprends inter nos, que tu vois en Don Juan mon Maître le plus grand scélérat que la terre ait jamais porté, un enragé, un chien, un Diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel ni Saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Épicure, en vrai Sardanapale, ferme l'oreille à toutes les remontrances Chrétiennes qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons ; tu me dis qu'il a épousé ta Maitresse, crois qu'il aurait plus fait pour contenter sa passion, et qu'avec elle il aurait encore épousé toi, son chien et son chat ; un mariage ne lui coûte rien à contracter, il ne se sert point d'autre piège pour attraper les belles, et c'est un épouseur à toutes mains, Dame, Damoiselle, Bourgeoise, Paysanne ; Il ne trouve rien de trop chaud ni de trop froid pour lui, et si je te disais le nom de toutes celles qu'il a épousées en divers lieux, ce serait un chapitre à durer jusques au soir ; tu demeures surpris et changes de couleur à ce discours ; ce n'est là qu'une ébauche du personnage ; et pour en achever le portrait, il faudrait bien d'autres coups de pinceau : Suffit qu'il faut que le courroux du Ciel l'accable quelque jour, qu'il me vaudrait bien mieux d'être au Diable qu'à lui, et qu'il me fait voir tant d'horreurs que je souhaiterais qu'il fût déjà je ne sais où. |
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Comment
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Voici ma Maîtresse, qui vient. |
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Comment
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Il le choie, il l'embrasse ; et pour une Maîtresse, |
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Comment
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