Oui, mon fils, c'est assez rire de ta fureur, |
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Mon fils, dont votre fille acceptait l'hyménée, |
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Valère votre fils ailleurs s'est engagé, |
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Malgré l'effort d'un long mépris,
Le Tyran toujours m'aime, et depuis votre absence,
Vers moi pour me porter au dessein qu'il a pris,
Il semble avoir tourné toute sa violence,
Dont il poursuivait l'alliance
De vous et de son Fils. |
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Comment
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De vous et de son Fils. |
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Et veut bien que son Fils nous rende nos Sujets, |
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Un grand benêt de fils, aussi sot que son père. |
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Mais… Vous êtes un sot en trois lettres, mon Fils ; |
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Et j'ai prédit cent fois à mon Fils, votre Père, |
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Mais enfin, si j'étais de mon Fils son Époux, |
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Et mon Fils, à l'aimer, vous devrait tous induire. |
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Oh vraiment, tout cela n'est rien au prix du Fils ; |
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Cent fois plus qu'il ne fait Mère, Fils, Fille, et Femme. |
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Non Monsieur, mais je dois bien l'être avec Piarrot, le fils de la voisine Simonette. |
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Comment
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Mais voici le Fils qui me vient rendre réponse. |
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Comment
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La chose en est aux termes de n'en plus faire de secret, et lors que l'injure a une fois éclaté notre honneur ne va point à vouloir cacher notre honte, mais à faire éclater notre vengeance et à publier même le dessein que nous en avons ; ainsi, Monsieur, je ne feindrai point de vous dire que l'offense que nous cherchons à venger, est une sœur séduite et enlevée d'un convent, et que l'auteur de cette offense est un Don Juan Tenorio, fils de Don Louis Tenorio ; nous le cherchons depuis quelques jours et nous l'avons suivi ce matin sur le rapport d'un valet qui nous a dit qu'il sortait à cheval accompagné de quatre ou cinq, et qu'il avait pris le long de ce côté, mais tous nos soins ont été inutiles et nous n'avons pu découvrir ce qu'il est devenu. |
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Comment
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j'ai souhaité un fils avec des ardeurs nonpareilles, je l'ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils, que j'obtiens en fatiguant le Ciel de vœux, est le chagrin et le supplice de cette même vie dont je croyais qu'il devait être la joie et la consolation : De quel œil, à votre avis, pensez-vous que je puisse voir cet amas d'actions indignes, dont on a peine aux yeux du monde d'adoucir le mauvais visage ? |
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Question
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Eh mourez, le plus tôt que vous pourrez, c'est le mieux que vous puissiez faire ; il faut que chacun vive son tour, et j'enrage de voir que des Pères vivent autant que leurs fils. |
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Comment
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un père venir faire des remontrances à son fils, et lui dire de corriger ses actions, de se ressouvenir de sa naissance, de mener une vie d'honnête homme, et cent autres sottises de pareille nature ; cela se peut-il souffrir à un homme comme vous qui savez comme il faut vivre ? |
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Question
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Quoi, mon fils, serait-il possible que la bonté du Ciel eût exaucé mes vœux ? |
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Question
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Ah mon fils, que la tendresse d'un père est facilement rappelée, et que les offenses d'un fils s'évanouissent vite au moindre mot de repentir ! |
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Comment
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Oui, mon cher Fils, parlez, traitez-moi de perfide, |
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À son Fils. |
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Comment
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À son Fils. |
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À son Fils. |
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Comment
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