À connaître sa main, n'ait trop su vous instruire : |
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Il n'est point en état de payer ce grand zèle ; |
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Et ce n'est pas à vous, que je pourrai songer, |
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Ce n'est pas à vos dépens. |
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Je n'ai que faire de votre aide. |
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Cela n'est rien, touche. |
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Je n'en ferai rien. |
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N'en obtiennent rien pour nous : |
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Je veux une vengeance qui se fasse un peu mieux sentir : et ce n'est pas contentement, pour l'injure que j'ai reçue. |
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C'est notre bien seul qu'ils épousent, et j'aurais bien mieux fait, tout riche que je suis, de m'allier en bonne et franche paysannerie, que de prendre une femme qui se tient au-dessus de moi, s'offense de porter mon nom, et pense qu'avec tout mon bien je n'ai pas assez acheté la qualité de son mari. |
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Ma maison m'est effroyable maintenant, et je n'y rentre point sans y trouver quelque chagrin. |
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N'importe, parlons-en, et d'estoc, et de taille, |
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Je m'y sens entraîner par une trop douce puissance, et je n'ai pas même la force de souhaiter que les choses ne fussent pas. |
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Non, je n'y suis venu que pour voir la Fête de demain. |
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Plusieurs Médecins ont déjà épuisé toute leur Science après elle : mais on trouve, parfois, des gens avec des Secrets admirables, de certains Remèdes particuliers, qui font le plus souvent, ce que les autres n'ont su faire, et c'est là, ce que nous cherchons. |
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Tous les Hommes sont semblables par les paroles ; et ce n'est que les actions, qui les découvrent différents. |
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Je crois que vous m'aimez d'un véritable amour, et que vous me serez fidèle ; je n'en veux point du tout douter, et je retranche mon chagrin aux appréhensions du blâme qu'on pourra me donner. |
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Je n'ai garde. |
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La Folie de celui-ci, est plus grande qu'on ne peut croire : car elle va, parfois, jusqu'à vouloir être battu, pour demeurer d'accord de sa capacité ; Et je vous donne avis que vous n'en viendrez point à bout, qu'il n'avouera jamais, qu'il est Médecin, s'il se le met en fantaisie, que vous ne preniez, chacun, un Bâton, et ne le réduisiez à force de coups, à vous confesser à la fin, ce qu'il vous cachera d'abord. |
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Je me représente à toute heure ce péril étonnant, qui commença de nous offrir aux regards l'un de l'autre ; cette générosité surprenante, qui vous fit risquer votre vie, pour dérober la mienne à la fureur des ondes ; ces soins pleins de tendresse, que vous me fîtes éclater après m'avoir tirée de l'eau ; et les hommages assidus de cet ardent amour, que ni le temps, ni les difficultés, n'ont rebuté, et qui, vous faisant négliger et Parents et Patrie, arrête vos pas en ces lieux, y tient en ma faveur votre fortune déguisée, et vous a réduit, pour me voir, à vous revêtir de l'emploi de Domestique de mon père. |
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Tout cela fait chez moi sans doute un merveilleux effet ; et c'en est assez à mes yeux, pour me justifier lengagement où j'ai pu consentir : mais ce n'est pas assez, peut-être, pour le justifier aux autres ; et je ne suis pas sûre qu'on entre dans mes sentiments. |
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De tout ce que vous avez dit, ce n'est que par mon seul amour que je prétends auprès de vous mériter quelque chose ; et quant aux scrupules que vous avez, votre Père, lui-même, ne prend que trop de soin de vous justifier à tout le monde ; et l'excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses Enfants, pourraient autoriser des choses plus étranges. |
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Vous savez que sur ce chapitre on n'en peut pas dire de bien. |
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Ils n'ont pu résister, Madame, à notre effort : |
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J'y fais des progrès admirables ; et j'éprouve que pour gagner les Hommes, il n'est point de meilleure voie, que de se parer à leurs yeux de leurs inclinations ; que de donner dans leurs maximes, encenser leurs défauts, et applaudir à ce qu'ils font. |
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