| Et… Non, j'ai résolu de n'en pas faire un pas ; |
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Comment
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| Et peut, par sa Cabale, entraîner… Il n'importe. |
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Comment
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| Pour moi, si je n'avais qu'à former des désirs, |
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Comment
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| N'est pas, assurément, pour être rejeté. |
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Comment
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| Qu'il n'est point de bienfait qu'en son âme il n'efface ; |
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Comment
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| Que je n'ai demeuré qu'un quart d'heure à le faire. |
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Comment
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| Je n'ai jamais ouï de Vers si bien tournés. |
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Comment
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| Ce n'est qu'aux Malheureux, qui composent pour vivre. |
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Comment
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| Ce n'est que jeu de Mots, qu'affectation pure, |
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Comment
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| Et ce n'est point ainsi, que parle la Nature. |
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Comment
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| Non, ce n'est pas, Madame, un bâton qu'il faut prendre, |
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Comment
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| Vous n'en disiez, peut-être, aux autres tout autant ? |
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Question
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| Et rien n'est, ici-bas, qui s'en puisse défendre. |
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Comment
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| Personne n'a, Madame, aimé comme je fais. |
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Comment
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| Ce n'est qu'en Mots fâcheux, qu'éclate votre ardeur, |
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Comment
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| Et l'on n'a vu jamais, un Amour si grondeur. |
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Comment
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| Vous résoudre à souffrir de n'être pas chez vous ? |
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Question
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| Et ce n'est que du Bruit, que tout ce qu'on écoute. |
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Comment
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| Son Mérite, jamais, n'est content de la Cour, |
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Comment
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| Et pense que louer, n'est pas d'un bel Esprit. |
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Comment
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| De mes ressentiments je n'ai pas été maître. |
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Comment
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| Vous n'en épargnez point, et chacun a son tour. |
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Comment
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| Le Sentiment d'autrui, n'est jamais, pour lui plaire, |
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Comment
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| Mon abord n'aura rien, je crois, qui lui déplaise, |
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Comment
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| Je n'ai point d'autre Affaire, où je sois attaché. |
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Comment
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