Non, vous dis-je, c'est l'offenser. |
|
Comment
|
C'est assez. |
|
Comment
|
Je sais les chagrins et les déplaisirs que sont capables de causer de pareilles traverses ; et c'est, je vous assure, avec une tendresse extrême que je m'intéresse à votre aventure. |
|
Comment
|
C'est une douce consolation, que de voir dans ses intérêts une Personne comme vous ; et je vous conjure, Madame, de me garder toujours cette généreuse amitié, si capable de m'adoucir les cruautés de la fortune. |
|
Comment
|
c'est ma mauvaise destinée qui l'a voulu ainsi. |
|
Comment
|
Mais le mal que j'y trouve, c'est que votre Père est votre Père. |
|
Comment
|
C'est là ce qu'il faudrait ; mais le diantre est d'en pouvoir trouver les moyens. |
|
Comment
|
C'est de tous les affronts, l'affront le plus sensible. |
|
Comment
|
Sois assurée, Frosine, de ma reconnaissance, si tu viens à bout de la chose : mais, charmante Mariane, commençons, je vous prie, par gagner votre Mère ; c'est toujours beaucoup faire, que de rompre ce mariage. |
|
Comment
|
Je lui ai dit quelques douceurs en votre nom, mais c'était pour vous plaire. |
|
Comment
|
C'est une chose, mon Père, qui peut-être viendra ensuite ; et l'on dit que l'amour est souvent un fruit du mariage. |
|
Comment
|
Fort bien ; mais sans savoir qui j'étais ; et c'est ce qui a fait tantôt la surprise de Mariane. |
|
Comment
|
c'est qu'il faut songer, s'il vous plaît, à vous défaire de votre amour ; à cesser toutes vos poursuites auprès d'une Personne que je prétends pour moi ; et à vous marier dans peu avec celle qu'on vous destine. |
|
Comment
|
Oui, mon Père, c'est ainsi que vous me jouez ! |
|
Comment
|
C'est vous qui allez sur les miennes ; et je suis le premier en date. |
|
Comment
|
C'est beaucoup d'honneur que vous me faites. |
|
Comment
|
C'est un supplice, qui m'accable ; |
|
Comment
|
C'est une chose où tu m'obliges, par la soumission et le respect où tu te ranges. |
|
Comment
|
C'est en sa place un courroux inflexible ; |
|
Comment
|
mon Père, je ne vous demande plus rien ; et c'est m'avoir assez donné, que de me donner Mariane. |
|
Comment
|
Et c'est haïr, autant qu'il est possible. |
|
Comment
|
C'est toi qui as promis d'y renoncer ? |
|
Question
|
c'est cela dont je suis offensée ; |
|
Comment
|
Qu'est-ce que c'est ? |
|
Question
|
c'est un coup trop cruel en lui-même ; |
|
Comment
|