| Point du tout ; au contraire, c'est me faire plaisir, et je suis bien aise d'apprendre comme on parle de moi. |
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| Peste soit la sincérité, c'est un mauvais métier. |
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| Oui, c'est une chose, Frosine, dont je ne veux pas me défendre ; et les visites respectueuses qu'il a rendues chez nous, ont fait, je vous l'avoue, quelque effet dans mon âme. |
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| Mon Dieu, Frosine, c'est une étrange affaire, lorsque pour être heureuse, il faut souhaiter ou attendre le trépas de quelqu'un, et la mort ne suit pas tous les projets que nous faisons. |
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| Je sais que vos appas frappent assez les yeux, sont assez visibles d'eux-mêmes, et qu'il n'est pas besoin de lunettes pour les apercevoir : mais enfin c'est avec des lunettes qu'on observe les Astres, et je maintiens et garantis que vous êtes un Astre, mais un Astre, le plus bel Astre qui soit dans le Pays des Astres. |
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| C'est qu'elle est encore toute surprise ; et puis les Filles ont toujours honte à témoigner d'abord ce qu'elles ont dans l'âme. |
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| Vous avez fait, Madame, ce que je devais faire, et c'était à moi de vous prévenir. |
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| C'est trop d'honneur que vous me faites, adorable mignonne. |
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| C'est justement celui dont je t'ai parlé. |
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| c'est ici le coup le plus cruel de tous ! |
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| Madame, à vous dire le vrai, c'est ici une aventure où sans doute je ne m'attendais pas ; et mon Père ne m'a pas peu surpris, lorsqu'il m'a dit tantôt le dessein qu'il avait formé. |
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| C'est une rencontre imprévue qui m'a surprise autant que vous ; et je n'étais point préparée à une pareille aventure. |
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| Le compliment, je vous l'avoue, est trop difficile pour moi ; et c'est un titre, s'il vous plaît, que je ne vous souhaite point. |
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| Que c'est un mariage, Madame, où vous vous imaginez bien que je dois avoir de la répugnance ; que vous n'ignorez pas, sachant ce que je suis, comme il choque mes intérêts ; et que vous voulez bien enfin que je vous dise, avec la permission de mon Père, que si les choses dépendaient de moi, cet hymen ne se ferait point. |
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| C'est un jeune sot, qui ne sait pas encore la conséquence des paroles qu'il dit. |
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| Et c'est un désespoir, qui de tout rend capable. |
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| C'est beaucoup de bonté à vous, de vouloir ainsi excuser ses fautes. |
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| C'est trop me pousser là-dessus ; |
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| C'est bien à quoi, sans doute, il faut vous préparer. |
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| Oui, Madame, le bonheur de vous posséder est à mes regards la plus belle de toutes les fortunes ; c'est où j'attache toute mon ambition. |
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| C'est le moins qu'on doit voir ; et les choses, peut-être, |
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| C'est un compliment que je fais pour vous à Madame. |
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| C'est une chose qui n'était pas nécessaire. |
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| C'est un présent que mon Père vous a fait. |
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| C'est ici, pour mon Maître, un coup assez touchant ; |
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