| C'est la nourrice d'un petit Enfant que j'ai. |
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Comment
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| C'est un Parti où il n'y a rien à redire ; et je gage que tout le monde approuvera mon choix. |
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Comment
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| C'est vous, Monsieur, sans contredit. |
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Comment
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| C'est moi qu'Amphitryon députe vers Alcmène, |
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Comment
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| C'est moi qui suis Sosie enfin, de certitude ; |
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Comment
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| Le Seigneur Anselme est un Parti considérable ; c'est un Gentilhomme qui est noble, doux, posé, sage, et fort accommodé, et auquel il ne reste aucun Enfant de son premier mariage. |
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Comment
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| Mais elle pourrait vous dire que c'est un peu précipiter les choses, et qu'il faudrait au moins quelque temps pour voir si son inclination pourra s'accommoder avec… |
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Comment
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| C'est une occasion qu'il faut prendre vite aux cheveux. |
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Comment
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| C'est l'Office du Médecin, de voir les Tétons des Nourrices. |
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Comment
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| C'est pour moi une épargne considérable. |
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Comment
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| Je vous dis encore une fois que le mariage est une chaîne à laquelle on doit porter toute sorte de respect, et que c'est fort mal fait à vous d'en user comme vous faites. |
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Comment
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| Tant mieux, lorsque le Médecin fait rire le Malade, c'est le meilleur signe du Monde. |
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Comment
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| C'est pour ne point l'aigrir, et pour en venir mieux à bout. |
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Comment
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| C'est de quoi le confondre, et nous allons le voir. |
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Comment
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| Monsieur, c'est là, sa Maladie. |
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Comment
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| Elle est devenue muette, sans que jusques ici, on en ait pu savoir la cause : et c'est un Accident qui a fait reculer son Mariage. |
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Comment
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| Comment, parce qu'un homme s'avise de nous épouser, il faut d'abord que toutes choses soient finies pour nous, et que nous rompions tout commerce avec les vivants ?C'est une chose merveilleuse que cette tyrannie de Messieurs les maris, et je les trouve bons de vouloir qu'on soit morte à tous les divertissements, et qu'on ne vive que pour eux. |
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Question
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| C'est ainsi que vous satisfaites aux engagements de la foi que vous m'avez donnée publiquement. |
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Comment
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| Vous n'avez consulté pour cela que mon père, et ma mère, ce sont eux proprement qui vous ont épousé, et c'est pourquoi vous ferez bien de vous plaindre toujours à eux des torts que l'on pourra vous faire. |
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Comment
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| Oui, il faut qu'une fille obéisse à son Père. |
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Comment
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| C'est fort bien fait. |
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Comment
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| Oui !c'est ainsi que vous le prenez. |
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Comment
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| oui, Monsieur, c'est là son mal: vous l'avez trouvé tout du premier coup. |
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Comment
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| Un Ignorant aurait été embarrassé, et vous eût été dire : C'est ceci, c'est cela : mais moi, je touche au but du premier coup, et je vous apprends que votre Fille est Muette. |
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Comment
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| que dans tous leurs discours, et dans toutes leurs actions les gens de Cour ont un air agréable, et qu'est-ce que c'est auprès d'eux que nos gens de Province ? |
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Question
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