Touchons un peu pour voir : en effet c'est bien lui. |
|
Comment
|
c'est donc l'enclouure. |
|
Comment
|
Quand on viendra tantôt, c'est une affaire faite. |
|
Comment
|
Je crois que c'est Trufaldin qu'il se nomme. |
|
Comment
|
Si vous sûtes jamais ce que c'est qu'être père,
Et vous trouvez sensible aux tendresses du sang,
Conservez-moi chez vous cette fille si chère,
Comme si de la vôtre elle tenait le rang. |
|
Comment
|
Si vous sûtes jamais ce que c'est qu'être père, |
|
Comment
|
C'est-à-dire, un esprit chaussé tout à rebours, |
|
Comment
|
C'est faire en abrégé votre panégyrique. |
|
Comment
|
C'est trop de patience ; et je dois en sortir |
|
Comment
|
Et que c'est battre l'eau, de prétendre arrêter |
|
Comment
|
Mais, c'est bien plus, j'ai su que tout ce beau mystère, |
|
Comment
|
C'est pourquoi désormais il la gardera bien, |
|
Comment
|
Je vois bien ce que c'est, Célie en est la cause. |
|
Comment
|
C'est de l'Hébreu pour moi, je n'y puis rien comprendre. |
|
Comment
|
C'est lui qui la condamne. |
|
Comment
|
C'est lui qui la condamne. |
|
Comment
|
C'est lui qui la condamne. |
|
Comment
|
C'est lui qui la condamne. |
|
Comment
|
C'est me faire une plaie au plus tendre de l'âme ; |
|
Comment
|
Laissez-moi ; je vous dis que c'est un tour d'adresse. |
|
Comment
|
C'est trop que de vouloir le battre en ma présence. |
|
Comment
|
c'est mon valet ? |
|
Question
|
c'est mon valet ? |
|
Question
|
C'est maintenant le nôtre. |
|
Comment
|
Je ne sais ce que c'est. |
|
Comment
|