C'est que vous ne voulez pas y en avoir vu, assurément : car enfin toutes ces ordures, Dieu merci, y sont à visage découvert. |
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C'est fait. |
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C'est fait. |
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C'est fait. |
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C'est pour vous rendre instruit de ma précaution. |
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C'est ma sœur qui m'oblige à sortir maintenant ; |
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Et c'est l'être en effet que de ne me rien dire |
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C'est un transport si grand, qu'il n'en est point de même, |
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Elle ne dit pas un mot, qui de soi ne soit fort honnête ; et si vous voulez entendre dessous quelque autre chose, c'est vous qui faites l'ordure, et non pas elle ; puisqu'elle parle seulement d'un ruban qu'on lui a pris. |
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De la plupart des gens c'est la démangeaison ; |
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mon Dieu ; c'est une causeuse, qui ne dit pas ce qu'elle pense. |
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C'est votre laquais, Madame, qui fait le sot. |
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Je vous prie, Monsieur, de ne pas croire ce qu'il dit : c'est un petit écervelé, qui vous a pris pour un autre. |
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C'est peut-être que je paie l'intérêt de ma mauvaise mine : hay, hay, hay, hay. |
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C'est Monsieur, |
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Et c'est avec raison qu'elle pourrait se plaindre, |
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C'est la plus méchante chose du monde. |
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Au moins c'est moi, Monsieur. |
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Au moins c'est moi, Monsieur. |
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C'est moi. |
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C'est moi. |
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C'est elle aussi, Monsieur… |
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C'est elle aussi, Monsieur… Que tous deux on se taise. |
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Oui, c'est l'unique but, où tend ma destinée ; |
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La besogne à la main, c'est un bon témoignage. |
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