Mais quand je crains pour vous, c'est cette raillerie |
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Mais c'est assez montrer mes justes sentiments, |
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Parce qu'elle lui dit que c'est pour sa vertu. |
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C'est l'unique moyen de me rendre contente. |
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Mais, comme si c'en eût été trop bon marché, |
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C'est que les beaux esprits, Cousine, aiment la solitude. |
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Que quelques bonnes gens diront, que c'est dommage ! |
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Mais si l'on vous attend, ai-je dit, c'est injure… |
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Eh bien, Madame, eh bien, c'est s'expliquer assez, |
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Il est vrai que la Dame est un peu embarrassante de son naturel : j'ai toujours eu pour elle une furieuse aversion ; et, n'en déplaise à sa qualité, c'est la plus sotte bête qui se soit jamais mêlée de raisonner. |
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Et c'est trop hautement que ta haine se montre. |
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C'est Damis, le tuteur de celle que j'adore ; |
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Et c'est dans cette allée, où devait être Orphise. |
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Même ne sache pas ce que c'est qu'une Rime ; |
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Et c'est assez pour elle, à vous en bien parler, |
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Tenez embrassez-moi, c'est un autre elle-même. |
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Vraiment, c'est bien tard que… |
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Ah c'est malaisément qu'en pareille matière, |
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C'est trop que de huit jours pour ton impatience, |
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Puisse jamais savoir ce que c'est qu'être honnête ? |
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Question
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C'est assez. |
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C'est assez. |
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C'est toi mignonne, où vas-tu donc si tard ? |
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Question
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C'est-à-dire ordonnant quels soins on emploierait, |
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C'est fait. |
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