C'est pour vous obéir au moins, et je puis dire… |
|
Comment
|
C'est ce que vous voudrez, dépêchez-vous de lire. |
|
Comment
|
Croyez que désormais, c'est toute mon envie, |
|
Comment
|
Mais ce qui me surprend, Don Lope, c'est d'entendre, |
|
Comment
|
C'est une nouveauté qui n'appartient qu'à vous. |
|
Comment
|
C'est de flatter toujours le faible de leur cœur : |
|
Comment
|
C'est là le vrai secret d'être bien auprès d'eux, |
|
Comment
|
C'est lors que plus il m'aime, et je vois sa raison |
|
Comment
|
Vous demeuriez d'accord, que c'est votre écriture ; |
|
Comment
|
Non, c'est pour un Amant, que ma main l'a formé, |
|
Comment
|
C'est pour le démentir, et cent fois me dédire |
|
Comment
|
C'est l'unique faveur que demande ma flamme. |
|
Comment
|
c'en est trop, souffrez, adorable Princesse… |
|
Comment
|
C'est assez contre lui que l'éclat d'un serment ; |
|
Comment
|
C'est un scrupule, enfin, dont mon âme est blessée ; |
|
Comment
|
C'est un événement que vous n'attendiez pas. |
|
Comment
|
C'est de voir qu'à mon bras les rigueurs de mon sort, |
|
Comment
|
Et c'est injustement qu'on se plaint d'un malheur, |
|
Comment
|
C'est de me voir par vous ce Rival préféré. |
|
Comment
|
Oui, Seigneur, c'est un crime, et les premières flammes, |
|
Comment
|
c'en est trop que prendre sa querelle, |
|
Comment
|
C'est au déguisement donner trop de crédit, |
|
Comment
|
C'est à quoi je m'engage, et je tiendrai parole. |
|
Comment
|
Et pour vous y porter, c'est moi qui vous en prie. |
|
Comment
|
Mais c'est à votre joie un surcroît sans égal, |
|
Comment
|