C'est que ma cousine, dès l'heure que je vous parle, contrefait la malade ; et le bon vieillard, qui est assez crédule, m'envoie quérir un médecin. |
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C'est un lourdaud qui gâtera tout ; mais il faut s'en servir faute d'autre. |
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Employez-moi seulement en vos affaires de conséquence, en quelque chose d'importance : par exemple, envoyez-moi voir quelle heure il est à une horloge, voir combien le beurre vaut au marché, abreuver un cheval ; c'est alors que vous connaîtrez ce que je sais faire. |
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Comment
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Ce n'est pas cela : c'est qu'il faut que tu contrefasses le médecin. |
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C'est-à-dire qu'il lui faudra parler philosophie, mathématique. |
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Comment
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Et c'est ce qui me fait enrager : je croyais refaire mon ventre d'une bonne carrelure, et m'en voilà sevré. |
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Comment
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Ce n'est pas lui qui est malade, c'est sa fille. |
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C'est une marque que vous ne vous portez pas bien. |
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C'est fort bien fait. |
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Il faut avouer que tous ceux qui excellent en quelque science sont dignes de grande louange, et particulièrement ceux qui font profession de la médecine, tant à cause de son utilité, que parce qu'elle contient en elle plusieurs autres sciences, ce qui rend sa parfaite connaissance fort difficile ; et c'est fort à propos qu'Hippocrate dit dans son premier aphorisme : Vita brevis, ars vero longa, occasio autem praeceps, experimentum periculosum, judicium difficile. |
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Comment
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ma foi, tout est perdu : c'est à ce coup que voilà la médecine renversée, mais il faut que je le trompe. |
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Comment
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C'est un coquin, monsieur Gorgibus. |
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Comment
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C'est un ivrogne, monsieur Gorgibus. |
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Comment
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C'est le médecin et Narcisse son frère ; ils avaient quelque différend, et ils font leur accord. |
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Comment
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C'est une chose que je refuserais à tout autre qu'à vous : mais pour vous montrer que je veux tout faire pour l'amour de vous, je m'y résous, quoique avec peine, et veux auparavant qu'il vous demande pardon de toutes les peines qu'il vous a données.
- Oui, Monsieur Gorgibus, je vous demande pardon de vous avoir tant importuné, et vous promets, mon frère, en présence de M. |
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Comment
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Monsieur, qu'allez-vous faire de me pendre ?
Écoutez un mot, s'il vous plaît : il est vrai que c'est par mon invention que mon maître est avec votre fille ; mais en le servant, je ne vous ai point désobligé : c'est un parti sortable pour elle, tant pour la naissance que pour les biens. |
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Question
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oui, tant pis, c'est là ce qui m'afflige. |
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Comment
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C'est, Monsieur, votre père, au moins à ce qu'il dit, |
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Comment
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S'imaginant que c'est dans le seul mariage, |
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Comment
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c'est par ces discours que tu peux me ravir. |
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Comment
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C'est pourquoi dépêchons, et cherche dans ta tête |
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Comment
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C'est une faible ruse. |
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Comment
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Il est vrai, c'est tomber d'un mal dedans un pire. |
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Comment
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C'en est trop à la fin ; |
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Comment
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c'est ? |
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Question
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