À ce propos, voici l'histoire qu'il m'a dite, |
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Peut-être encor qu'avec toute sa suffisance, |
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Mais, pour se joindre tous, le rendez-vous qu'il donne, |
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Il vint en cette ville, et prit le nom qu'il a ; |
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Si j'ai plutôt qu'aucun, un tel moyen trouvé, |
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Pour les ressusciter sur ce qu'il a rêvé ; |
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C'est qu'en fait d'aventure, il est très ordinaire, |
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Après quinze ou vingt ans qu'on les a crus perdus. |
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Sans nous alambiquer, servons-nous-en, qu'importe ? |
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Question
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Attendre quelques jours qu'ils y seraient arrivés ; |
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Qu'il était fort petit alors qu'il l'a pu voir ; |
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Il est vrai ; mais dis-moi, s'il connaît qu'il m'a vu, |
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Nous avons dit tantôt, qu'outre que votre image |
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N'avait dans son esprit pu faire qu'un passage, |
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Mais, parce qu'il sent bien le secours qu'il me donne, |
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Et c'est en effet là qu'il laissa votre fils : |
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Mais où vous a-t-il dit qu'il reçut la clarté ? |
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Question
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Qu'à sa discrétion vos soins avaient commis. |
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Et qu'il est tard aussi ? |
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Question
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Et qu'il est tard aussi ? |
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Question
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De qui le noble emploi n'est qu'un métier de gueuse ? |
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Question
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Ne peut sans quelque affront souffrir qu'on la méprise. |
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Retirons-nous plus loin, de crainte qu'il n'en sorte |
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Qui par un trop grand feu s'enfle, croît jusqu'aux bords, |
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Vous n'avez toujours fait qu'avoir les yeux sur elle ; |
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