Et qu'en toute la terre… |
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Et qu'en toute la terre… Hé, trêve de douceurs. |
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Nous sommes les coquins qu'il faut rouer de coups. |
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C'est, Monsieur, votre père, au moins à ce qu'il dit, |
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Qu'il peste contre vous d'une belle manière, |
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Qu'il pourra rencontrer de quoi vous faire sage. |
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Sais-tu qu'on n'acquiert rien de bon à me fâcher ? |
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Question
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Qu'un valet conseiller y fait mal ses affaires ? |
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Question
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Vous savez le contraire, et qu'il est très certain, |
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Qu'on ne peut me taxer que d'être trop humain. |
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Qu'à me ravir Célie il se va préparer. |
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Empêcher qu'un rival vous prévienne et vous brave. |
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Et trouvant son argent qu'ils lui font trop attendre, |
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Je sais bien qu'il serait très ravi de la vendre : |
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Qu'il n'est point de ressort qui pour votre ressource, |
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Mon cœur qu'avec raison votre discours étonne, |
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Ce style maintenant n'est pas ce qu'il nous faut ; |
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Les grands talents qu'elle a pour savoir l'avenir, |
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Pouvoir entretenir la beauté qu'il adore : |
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N'a pu, quoi qu'il ait fait, le lui permettre encor, |
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Les secrets sentiments qu'en son cœur on fait naître : |
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Qu'il n'appréhende pas de soupirer en vain ; |
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Il a lieu d'espérer, et le sort qu'il veut prendre |
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C'est par mon ordre seul qu'il vous vient visiter ; |
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Pourvu qu'entre nous deux le prix soit arrêté. |
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