Comment, mon Gendre, vous en êtes encore là-dessus ? |
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Question
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Ah mon père vous êtes là ! |
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Comment
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J'en veux faire moi, vous êtes un impertinent. |
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Comment
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Voilà une femme, celle-là, vous êtes trop heureux de l'avoir, et vous devriez baiser les pas où elle passe. |
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Comment
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Ah, ah, vous êtes bien pressés ! |
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Comment
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vous n'avez de votre vie été si jeune que vous êtes ; et je vois des gens de vingt-cinq ans qui sont plus vieux que vous. |
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Comment
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Non, je suis le Valet, et vous êtes le Maître ; |
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Comment
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Les plus vieux sont pour elle les plus charmants, et je vous avertis de n'aller pas vous faire plus jeune que vous êtes. |
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Comment
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vous êtes à ravir, et votre figure est à peindre. |
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Comment
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Corbleu vous êtes un malhonnête homme. |
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Comment
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J'enrage de cela, et je suis fâché tous les jours d'entendre ce qu'on dit de vous : car enfin je me sens pour vous de la tendresse en dépit que j'en aie ; et après mes Chevaux, vous êtes la Personne que j'aime le plus. |
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Comment
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Vous êtes la fable et la risée de tout le monde, et jamais on ne parle de vous, que sous les noms d'avare, de ladre, de vilain, et de fesse-mathieu. |
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Comment
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Vous êtes un sot, un maraud, un coquin, et un impudent. |
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Comment
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Vous êtes un impertinent. |
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Comment
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Apprenez que vous êtes un mauvais railleur. |
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Comment
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Je sais que vos appas frappent assez les yeux, sont assez visibles d'eux-mêmes, et qu'il n'est pas besoin de lunettes pour les apercevoir : mais enfin c'est avec des lunettes qu'on observe les Astres, et je maintiens et garantis que vous êtes un Astre, mais un Astre, le plus bel Astre qui soit dans le Pays des Astres. |
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Comment
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Vous êtes, par ma foi, de malheureuses gens l'un et l'autre, de ne m'avoir point avant tout ceci, avertie de votre affaire ! |
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Comment
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Hélas ! à vos paroles, je puis ici répondre, moi, que vous n'imposez point ; et tout ce que vous dites, me fait connaître clairement que vous êtes mon frère. |
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Comment
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Vous êtes notre Père ? |
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Question
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Je vous ai vu ce matin, Monsieur, avec le Coche, lorsque vous avez déjeuné ; et la grâce avec laquelle vous mangiez votre pain, m'a fait naître d'abord de l'amitié pour vous : Et comme je sais que vous n'êtes jamais venu en ce Pays, et que vous y êtes tout neuf, je suis bien aise de vous avoir trouvé pour vous offrir mon service à cette arrivée, et vous aider à vous conduire parmi ce Peuple, qui n'a pas parfois pour les honnêtes Gens toute la considération qu'il faudrait. |
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Comment
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Je crois, Monsieur, que vous êtes le Médecin à qui l'on est venu parler de ma part. |
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Comment
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Vous êtes de plaisantes Gens, de vouloir comparer vos Sciences à la mienne ! |
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Comment
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Vous êtes bien résolu. |
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Comment
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Ah l'habile Homme que vous êtes ! |
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Comment
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Suivez-moi, que j'aille un peu montrer mon Habit par la Ville ; et surtout, ayez soin tous deux de marcher immédiatement sur mes pas, afin qu'on voie bien que vous êtes à moi. |
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Comment
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