| Mais avant que d'aller plus loin, je sais que je dépends d'un Père, et que le nom de Fils me soumet à ses volontés ; que nous ne devons point engager notre foi, sans le consentement de ceux dont nous tenons le jour ; que le Ciel les a faits les maîtres de nos vœux, et qu'il nous est enjoint de n'en disposer que par leur conduite ; que n'étant prévenus d'aucune folle ardeur, ils sont en état de se tromper bien moins que nous, et de voir beaucoup mieux ce qui nous est propre ; qu'il en faut plutôt croire les lumières de leur prudence, que l'aveuglement de notre passion ; et que l'emportement de la jeunesse nous entraîne le plus souvent dans des précipices fâcheux. |
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Comment
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| ma Sœur, il est plus grand qu'on ne peut croire. |
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| Et je vous prie de croire. |
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| Et je vous prie de croire. |
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| Oui le diable m'emporte, tu me peux croire, puisque j'en jure. |
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Comment
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| Je commence, à mon tour, à le croire un petit. |
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| Il est vrai que votre Fille vous peut représenter que le mariage est une plus grande affaire qu'on ne peut croire ; qu'il y va d'être heureux, ou malheureux, toute sa vie ; et qu'un engagement qui doit durer jusqu'à la mort, ne se doit jamais faire qu'avec de grandes précautions. |
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Comment
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| Le moyen d'en rien croire, à moins qu'être insensé ? |
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Question
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| À mon serment, on m'en peut croire. |
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Comment
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| Non, mon Père, je ne suis point capable d'en changer ; et je prie instamment Madame de le croire. |
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Comment
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| Non, tout de bon ; tu m'en peux croire. |
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Comment
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| Il tire son mouchoir de sa poche ; ce qui fait croire à maître Jacques qu'il va lui donner quelque chose. |
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Comment
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| Vous en userez comme vous voudrez, et me voilà prêt à souffrir toutes les violences qu'il vous plaira ; mais je vous prie de croire, au moins, que s'il y a du mal, ce n'est que moi qu'il en faut accuser, et que votre Fille en tout ceci n'est aucunement coupable. |
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Comment
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| Je fusse contraint de les croire, |
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| Je ne sais plus que croire, ni que dire. |
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Comment
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| On fait croire qu'on a de mauvaises raisons. |
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Comment
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| Mais, Bergère, puis-je croire
Qu'il ne sera point trompeur ? |
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Question
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| Mais, Bergère, puis-je croire |
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Comment
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| Mais quoi, je me suis rendu à la raison, et j'ai considéré que dans le fond, il n'a pas tant de tort qu'on pourrait croire. |
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Comment
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| Pour ce qui est du vôtre, la machine est déjà toute trouvée : Et quant au vôtre, bien qu'avare au dernier degré, il y faudra moins de façons encore ; car vous savez que pour l'esprit, il n'en a pas grâces à Dieu grande provision, et je le livre pour une espèce d'Homme à qui l'on fera toujours croire tout ce que l'on voudra. |
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Comment
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| On lui a fait croire que cet autre est plus riche que moi de quatre ou cinq mille écus ; et quatre ou cinq mille écus est un denier considérable, et qui vaut bien la peine qu'un Homme manque à sa parole : Mais oublier en un moment toute l'ardeur que je vous ai montrée, vous laisser d'abord enflammer d'amour pour un nouveau venu, et le suivre honteusement sans le consentement de Monsieur votre Père, après les crimes qu'on lui impute, c'est une chose condamnée de tout le monde, et dont mon cœur ne peut vous faire d'assez sanglants reproches. |
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Comment
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| Et qui, si l'on peut croire à ce qu'il vient de dire, |
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Comment
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| Si pour m'en croire il vous faut des serments, |
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Comment
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| Vous n'avez pas voulu m'en croire, |
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Comment
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| Plus admirable qu'on ne peut croire. |
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Comment
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