J'admire cependant que le Ciel ait jeté |
|
Comment
|
J'admire mon destin, et jamais sous les Cieux, |
|
Comment
|
Et j'admire avec tous, comme en si peu de temps, |
|
Comment
|
J'admire de le voir au point où le voilà, |
|
Comment
|
Il est vrai ; et j'admire les raffinements de certaines gens sur des choses que nous devons sentir par nous-mêmes. |
|
Comment
|
J'admire quelle joie on goûte à tout cela. |
|
Comment
|
Et j'admire de voir cette lettre ajustée, |
|
Comment
|
Oui, je vois bien que vous ne m'attendiez pas, et vous êtes surpris à la vérité, mais tout autrement que je ne l'espérais, et la manière dont vous le paraissez me persuade pleinement ce que je refusais de croire ; j'admire ma simplicité, et la faiblesse de mon cœur, à douter d'une trahison que tant d'apparences me confirmaient : j'ai été assez bonne, je le confesse, ou plutôt assez sotte pour vouloir me tromper moi-même, et travailler à démentir mes yeux et mon jugement. |
|
Comment
|
j'admire votre patience, et si j'avais été en votre place, je l'aurais envoyé promener ; Ô complaisant maudit, à quoi me réduis-tu ? |
|
Question
|
J'admire seulement que, sans confusion, |
|
Comment
|
J'admire, encore un coup, cette faiblesse étrange. |
|
Comment
|
Voilà, certainement, des Douceurs que j'admire. |
|
Comment
|
J'admire ce qu'il dit, j'estime ce qu'il est ; |
|
Comment
|
Oui, j'admire mon malheur, et la subtile adresse de ma carogne de femme pour se donner toujours raison, et me faire avoir tort. |
|
Comment
|
Les voici tous deux, et j'admire |
|
Comment
|
Pourtant j'ai bon esprit ; j'admire mon adresse, |
|
Comment
|