| C'est là tout le malheur. |
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| Il ne peut sans mourir, songer à ce malheur. |
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| Sans ce dernier malheur, ne m'avoueras-tu pas, |
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| Répare ce malheur, et me sois secourable. |
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| malheur qui ne se peut forcer ! |
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| Faut-il que le malheur qui me suit à la trace, |
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| de ce malheur |
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| Quelle douceur, vous-même, après un tel malheur ! |
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| J'ai pris pour mon malheur le poison qui me tue ; |
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| Et c'est injustement qu'on se plaint d'un malheur, |
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| Mais moi par un malheur qui ne peut s'égaler, |
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| Ou défendre la gloire, ou venger le malheur. |
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| Je cherchais le malheur qu'ont rencontré mes yeux. |
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| J'avouerai toutefois que je plains son malheur, |
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| De souffrir sans éclat le malheur de ma flamme. |
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| Et que si d'un malheur il ne veut être cause, |
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| Insultez inhumaine, encore à mon malheur. |
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| Je porte l'as de trèfle, admire mon malheur, |
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| Adieu console-toi, pourtant, de ton malheur. |
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| Je tremble du malheur qui m'en peut arriver, |
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| On y voit beaucoup d'actions qui se passent sur la Scène ; et les récits eux-mêmes y sont des actions suivant la constitution du sujet, d'autant qu'ils sont tous faits innocemment, ces récits, à la personne intéressée, qui par là entre à tous coups dans une confusion à réjouir les spectateurs, et prend à chaque nouvelle toutes les mesures qu'il peut pour se parer du malheur qu'il craint. |
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| Il est à mon amour arrivé du malheur. |
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| Quel malheur ! |
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Comment
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| Quel malheur ! |
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| Ah scélérat, c'est maintenant que je te connais tout entier, et pour mon malheur je te connais lors qu'il n'en est plus temps, et qu'une telle connaissance ne peut plus me servir qu'à me désespérer ; mais sache que ton crime ne demeurera pas impuni, et que le même Ciel dont tu te joues, me saura venger de ta perfidie. |
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