Je viens vous consulter, sûr que de votre bouche, |
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La bouche avec la sienne. |
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Je reçois par ta bouche une bonne nouvelle, |
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De voir que je l'apprenne encore par ta bouche. |
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Le côté qu'à sa bouche elle avait su porter. |
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Que ma bouche vous vient annoncer maintenant. |
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S'exprime par ta bouche. |
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S'exprime par ta bouche. |
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Et c'est aussi pourquoi ma bouche se dispense |
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Dans ma bouche, une nuit, cet amant trop aimable |
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Ou, si vous refusez de le faire, ma bouche |
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Je ne desserre pas la bouche seulement. |
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Mais si de votre bouche il n'a point su sa gloire, |
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C'est un soin qu'à ma bouche, il me vaut mieux commettre. |
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Ma bouche sur ce point ne peut être parjure. |
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Si pour moi votre bouche avait parlé sans feinte, |
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Aux marques seulement, que ta bouche me donne ; |
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malgré que j'en aie, il me vient à la bouche, |
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que vous avez bien raison, Madame ; et que vous me rendrez justice, quand vous croirez que je vous trouve la plus engageante personne du monde ; que j'entre dans tous vos sentiments, et suis charmée de toutes les expressions, qui sortent de votre bouche. |
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Et je prendrai le soin d'accoutumer ma bouche |
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Et Sénèque… Sénèque est un sot dans ta bouche, |
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Et Servante et Valet m'ont bouché le passage, |
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C'est une chose terrible, il faut que je lui sois fidèle en dépit que j'en aie ; la crainte en moi fait l'office du zèle, bride mes sentiments et me réduit à la complaisance d'applaudir bien souvent à ce que mon âme déteste ; le voila qui vient se promener dans ce Palais, séparons nous ; écoute, au moins je te fais confidence avec grande franchise, et cela m'est sorti un peu bien vite de la bouche ; mais s'il fallait qu'il en vînt quelque chose à ses oreilles, je dirais hautement que tu aurais menti. |
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Mes justes soupçons, chaque jour, avaient beau me parler, j'en rejetais la voix qui vous rendait criminel à mes yeux, et j'écoutais avec plaisir mille chimères ridicules qui vous peignaient innocent à mon cœur ; mais enfin cet abord ne me permet plus de douter, et le coup d'œil qui m'a reçue m'apprend bien plus de choses que je ne voudrais en savoir : Je serai bien aise pourtant d'ouïr de votre bouche les Raisons de votre départ. |
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Parbleu, de la langue que j'ai dans la bouche ; je crois que je n'irai pas emprunter celle de mon Voisin. |
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