beauté

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Pouvoir entretenir la beauté qu'il adore : Comment
Tiens donc, et va pour moi prendre cette beauté, Comment
J'aime fort la beauté qui n'est point profanée, Comment
Peindre à cette beauté les tourments de mon âme ; Comment
Quand on ne prend en dot que la seule beauté, Comment
Jugez donc le transport où sa beauté me jette, Comment
Et le fort ascendant, que prend votre beauté, Comment
Mais songeons à trouver une beauté si rare. Comment
Bien qu'elle ait de l'esprit, elle a suivi le mauvais exemple de celles, qui étant sur le retour de l'âge, veulent remplacer de quelque chose ce qu'elles voient qu'elles perdent ; et prétendent que les grimaces d'une pruderie scrupuleuse, leur tiendront lieu de jeunesse et de beauté. Comment
Qu'ici d'une Beauté mon âme s'est éprise. Comment
Mais enfin, sans choquer l'amitié que Monsieur le Chevalier témoigne pour l'Auteur, on m'avouera que ces sortes de Comédies ne sont pas proprement des Comédies, et qu'il y a une grande différence de toutes ces bagatelles, à la beauté des pièces sérieuses. Comment
Vous croyez donc, Monsieur Lysidas, que tout l'esprit et toute la beauté sont dans les Poèmes sérieux, et que les Pièces Comiques sont des niaiseries qui ne méritent aucune louange ? Question
Cette beauté de sa part vous fait dire… Comment
Et ce serait péché, qu'une Beauté si rare Comment
Pour moi, je trouve que la beauté du sujet de L'École des Femmes consiste dans cette confidence perpétuelle ; et ce qui me paraît assez plaisant, c'est qu'un homme qui a de l'Esprit et qui est averti de tout par une innocente qui est sa maîtresse et par un étourdi qui est son rival, ne puisse avec cela éviter ce qui lui arrive. Comment
Et le moindre entretien de la beauté qu'on aime, Comment
C'est lui que touche seul le soin de sa beauté ; Et pour rien doit être conté, Que les autres la trouvent laide. Comment
C'est lui que touche seul le soin de sa beauté ; Comment
tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. Comment
Point du tout, vous ne m'êtes point obligée de tout ce que je dis, et ce n'est que à votre beauté que vous en êtes redevable. Comment
non, non, c'est profaner tant de beauté, et vous n'êtes pas née pour demeurer dans un Village ; vous méritez sans doute une meilleure fortune, et le Ciel qui le connaît bien m'a conduit ici tout exprès pour empêcher ce mariage, et rendre justice à vos charmes ; car enfin, belle Charlotte, je vous aime de tout mon cœur, et il ne tiendra qu'à vous que je ne vous arrache de ce lieu misérable, et ne vous mette dans l'état où vous méritez d'être ; cet amour est bien prompt sans doute ; mais quoi ! Comment
Eh Charlotte, je vois bien que vous ne me connaissez pas encore, vous me faites grand tort de juger de moi par les autres ; et s'il y a des fourbes dans le monde, des gens qui ne cherchent qu'à abuser des filles, vous devez me tirer du nombre, et ne pas mettre en doute la sincérité de ma foi ; et puis votre beauté vous assure de tout ; quand on est faite comme vous, on doit être à couvert de toutes ces sortes de créances ; vous n'avez point l'air, croyez-moi, d'une personne qu'on abuse, et pour moi, je vous l'avoue, je me percerais le cœur de mille coups si j'avais eu la moindre pensée de vous trahir. Comment
Mais enfin je connus, ô Beauté toute aimable, Comment
On me veut arracher de la beauté que j'aime. Comment
Pour la beauté du Fait, avoir perdu ma Cause. Comment