Je ne sais pas si vous doutez de mon parfait amour ;
Mais je sais bien que mon cœur à toute heure
Veut quitter sa chagrine demeure,
Pour aller par respect faire au vôtre sa Cour :
Après cela pourtant, sûre de ma tendresse,
Et de ma foi, dont unique est l'espèce,
Vous devriez à votre tour
Vous contentant d'être Comtesse,
Vous dépouiller en ma faveur, d'une peau de tigresse,
Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. |
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Comment
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Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. |
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Comment
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Qui couvre vos appas, la nuit comme le jour. |
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Comment
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La nuit dont le silence est ami de l'amant |
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Comment
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Aussitôt que le jour fera place à la nuit, |
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Comment
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La nuit semble déjà seconder notre envie, |
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Comment
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Planté dans une rue, et sans armes, la nuit, |
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Comment
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Et je crois que les lieux où la nuit fait sa cour |
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Comment
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Qui vont rodant de nuit, tout de bon, que dirai-je ? |
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Question
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Ah, nuit ! |
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Comment
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Courir comme un lutin, jour et nuit, sans manger ? |
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Question
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Tâchons à nous sauver en faveur de la nuit. |
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Comment
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Puis j'allai toute la nuit à travers la campagne, |
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Comment
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Qu'ils n'ont pu se cacher dans la nuit la plus sombre. |
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Comment
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