Ferme, ô Violons de village. |
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Comment
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et qu'un homme montre d'esprit lorsqu'il vient vous dire ; Madame, vous êtes dans la place Royale, et tout le monde vous voit de trois lieues de Paris, car chacun vous voit de bon œil, à cause que Boneuil est un village à trois lieues d'ici. |
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Comment
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Êtes-vous de ce Village ? |
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Question
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non, non, c'est profaner tant de beauté, et vous n'êtes pas née pour demeurer dans un Village ; vous méritez sans doute une meilleure fortune, et le Ciel qui le connaît bien m'a conduit ici tout exprès pour empêcher ce mariage, et rendre justice à vos charmes ; car enfin, belle Charlotte, je vous aime de tout mon cœur, et il ne tiendra qu'à vous que je ne vous arrache de ce lieu misérable, et ne vous mette dans l'état où vous méritez d'être ; cet amour est bien prompt sans doute ; mais quoi ! |
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Comment
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Pauvres filles que vous êtes, j'ai pitié de votre innocence, et je ne puis souffrir de vous voir courir à votre malheur ; croyez-moy l'une et l'autre, ne vous amusez point à tous les contes qu'on vous fait, et demeurez dans votre village. |
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Comment
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Nous avons le Fils du Gentilhomme de notre Village, qui est le plus grand Malitorne et le plus sot Dadais que j'aie jamais vu. |
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Comment
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Vous pourriez songer aux filles de village ? |
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Question
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Vous êtes de la cour et je suis du village. |
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Comment
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Je vais bien étonner tous les gens du village. |
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Comment
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Il nous faut vitement retourner au village. |
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Comment
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Sur la terre, il n'est point de bourg ni de village, |
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Comment
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