Il est vrai ; mais vous étiez pourtant dans l'emploi avant que j'y fusse, et je me souviens que je n'étais que petit Officier encore, que vous commandiez deux mille Chevaux. |
|
Comment
|
Parlé de ses chevaux, de ses bonnes fortunes, |
|
Comment
|
Faites boire là nos chevaux, et qu'on les amène après nous, je veux un peu marcher à pied. Ô Ciel que vois-je ici ! |
|
Comment
|
Ne sont que de Chevaux, d'Équipage, et de Chiens ; |
|
Comment
|
Qu'il faut nettoyer mon Carrosse, et tenir mes Chevaux tous prêts pour conduire à la Foire… |
|
Comment
|
Vos Chevaux, Monsieur ? |
|
Question
|
Ma foi, ils ne sont point du tout en état de marcher : Je ne vous dirai point qu'ils sont sur la litière, les pauvres bêtes n'en ont point, et ce serait fort mal parler : mais vous leur faites observer des jeûnes si austères, que ce ne sont plus rien que des idées ou des fantômes ; des façons de Chevaux. |
|
Comment
|
Cela me fend le cœur, de les voir ainsi exténués : car enfin j'ai une tendresse pour mes Chevaux, qu'il me semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche ; et c'est être, Monsieur, d'un naturel trop dur, que de n'avoir nulle pitié de son prochain. |
|
Comment
|
J'enrage de cela, et je suis fâché tous les jours d'entendre ce qu'on dit de vous : car enfin je me sens pour vous de la tendresse en dépit que j'en aie ; et après mes Chevaux, vous êtes la Personne que j'aime le plus. |
|
Comment
|
Celui-ci, que l'on vous surprit une nuit, en venant dérober vous-même l'avoine de vos Chevaux ; et que votre cocher, qui était celui d'avant moi, vous donna dans l'obscurité je ne sais combien de coups de bâton dont vous ne voulûtes rien dire. |
|
Comment
|
Qu'on mette donc les Chevaux au Carrosse. |
|
Comment
|
Vous dire que vos deux Chevaux sont déferrés. |
|
Comment
|