Cela n'est pas de refus. |
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D'un devoir d'amitié couvrir tous vos refus. |
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Opposent ses refus aux nœuds dont on la presse, |
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Vous plaindre avec raison, et blâmer mes refus, |
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Ou sur notre refus un jour d'en disposer, |
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Le refus de mon bras me puisse être imputé. |
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Et crois que d'un refus, la discrète froideur, |
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si d'un tel refus vous êtes en courroux, |
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Et pour qui mon refus a pensé vous fâcher. |
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Ou bien, pour un Arrêt, je prends votre refus : |
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Et ce refus, lui seul, fait plus que tout le reste : |
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C'est une chose dont vous pouvez vous tenir sûr, et si vous persistez dans votre refus, si vous ne me faites ouvrir, je vous jure que tout à l'heure je vais vous faire voir jusques où peut aller la résolution d'une personne qu'on met au désespoir. |
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Le voilà qui se scandalise de votre refus. |
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Mais en faisant refus de répondre à nos vœux, |
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Pourrait être pour vous et prompte et sans refus, |
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Et qui, sur un refus ou le moindre détour, |
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Irrité des refus qu'on fait à ses bontés, |
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