Cela est bientôt dit, Marquis ; il n'est rien plus aisé que de trancher ainsi, et je ne vois aucune chose, qui puisse être à couvert de la souveraineté de tes décisions. |
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Comment
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je ne dis plus mot, tu as raison, Marquis ; puisque les autres Comédiens en disent du mal, il faut les en croire assurément. |
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Pour toi, Marquis, je ne m'en étonne pas ; c'est que tu n'y as point trouvé de Turlupinades. |
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Comment
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Marquis, de grâce, un mot : Souffrez qu'on vous appelle, |
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Mais, ma foi, il y en a un grand nombre parmi les beaux Esprits de profession ; et si l'on joue quelques Marquis, je trouve qu'il y a bien plus de quoi jouer les Auteurs, et que ce serait une chose plaisante à mettre sur le Théâtre, que leurs grimaces savantes, et leurs raffinements ridicules ; leur vicieuse coutume d'assassiner les gens de leurs ouvrages ; leur friandise de louanges ; leurs ménagements de pensées ; leur trafic de réputation ; et leurs ligues offensives et défensives ; aussi bien que leurs guerres d'esprit, et leurs combats de Prose, et de Vers. |
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Ha Marquis que l'on voit de Fâcheux tous les jours, |
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Il est vrai, Marquis. |
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Et je les vois, Marquis, comme tu peux penser, |
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Le jeune Cerf, Marquis, à mon Campagnard passe. |
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Comment
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À te dire le vrai, cher Marquis, il m'assomme. |
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Marquis, je viens d'apprendre une étrange nouvelle. |
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Comment
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Je te jure, Marquis, qu'on s'est moqué de toi. |
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Point d'affaire, Marquis. |
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Comment
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Point d'affaire, Marquis. |
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Comment
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Voici les deux Marquis, qui montent avec nous ; |
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Cher Marquis, je te vois l'Âme bien satisfaite, |
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Je crois, qu'avec cela, mon cher Marquis, je crois, |
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Comment
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Mais les Gens de mon air, Marquis, ne sont pas faits, |
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Comment
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Tu penses donc, Marquis, être fort bien ici ? |
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Question
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J'ai quelque lieu, Marquis, de le penser ainsi. |
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Comment
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Ô çà, veux-tu, Marquis, pour ajuster nos voeux, |
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Comment
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Je vous l'ai dit vingt fois, mon Fils, toutes vos manières me déplaisent fort ; vous donnez furieusement dans le Marquis ; et pour aller ainsi vêtu, il faut bien que vous me dérobiez. |
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Comment
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Ils n'ont rien que les grands Seigneurs à me reprocher ; et moi, je ne vois rien de si beau, que de hanter les grands Seigneurs ; il n'y a qu'honneur et que civilité avec eux, et je voudrais qu'il m'eût coûté deux doigts de la main, et être né Comte ou Marquis. |
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Comment
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Comment se portent mes deux autres Fils, le Marquis, et le Commandeur ? |
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Question
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Comment se portent mes deux autres Fils, le Marquis, et le Commandeur ? |
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Question
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