| Si tu veux tu seras ma femme, je serai ton mari, et nous serons tous deux mari et femme. |
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Comment
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| Lorsqu'un mari se met à notre discrétion, nous ne prenons de liberté que ce qu'il nous en faut, et il en est comme avec ceux qui nous ouvrent leur bourse et nous disent, prenez. |
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Comment
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| Je me tuerai plutôt, que d'épouser un tel Mari. |
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Comment
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| Je la félicite d'avoir un Mari comme vous : et je vous félicite vous, d'avoir une Femme si belle, si sage, et si bien faite, comme elle est. |
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Comment
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| Mais la voici avec son Mari, éloignons-nous, et attendons qu'elle soit seule. |
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Comment
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| Mari de Cléanthis la prude, |
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Comment
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| Mais le mari est avec elle. |
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Comment
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| Je veux que vous y fassiez ce que fait une femme qui ne veut plaire qu'à son mari. |
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Comment
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| Mais quel personnage voulez-vous que joue un mari pendant cette galanterie ? |
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Question
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| Car pour moi je vous déclare que mon dessein n'est pas de renoncer au monde, et de m'enterrer toute vive dans un mari. |
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Comment
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| Il ne faut point qu'elle regarde comme un Mari est fait ; et lorsque la grande raison de sans dot s'y rencontre, elle doit être prête à prendre tout ce qu'on lui donne. |
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Comment
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| Je suis votre mari, et je vous dis que je n'entends pas cela. |
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Comment
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| Vous avez été tout rapporter au mari. |
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Comment
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| Vous voyez un Mari ; vous voyez un Amant : |
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Comment
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| Et je sens près de vous, que le Mari le gêne. |
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Comment
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| De ce que le Mari lui donne. |
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Comment
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| Que le Mari ne soit que pour votre vertu ; |
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Comment
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| Voilà votre père et votre mère accompagnés de votre mari. |
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Comment
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| Et que mon traître de Mari |
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Comment
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| Pardonnez-moi, Nourrice, si je parle ainsi de votre mari. |
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Comment
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| Mais je songe qu'en me quittant, vous allez trouver un mari. |
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Comment
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| Madame, si vous avez à dire du mal de votre mari, dépêchez vite, car il est tard. |
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Comment
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| Je lui ai fait un portrait de votre Personne ; et je n'ai pas manqué de lui vanter votre mérite, et l'avantage que ce lui serait, d'avoir un Mari comme vous. |
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Comment
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| mon cher mari, est-il bien vrai qu'on te va pendre ? |
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Question
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| Approchez de grâce, et venez me faire raison de l'insolence la plus grande du monde, d'un mari à qui le vin et la jalousie ont troublé de telle sorte la cervelle, qu'il ne sait plus ni ce qu'il dit, ni ce qu'il fait, et vous a lui-même envoyé querir pour vous faire témoins de l'extravagance la plus étrange dont on ait jamais ouï parler. |
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Comment
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