| N'a point été mal vu des yeux qui l'ont fait naître ; |
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| Les secrets sentiments qu'en son cœur on fait naître : |
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| Elle peut seulement naître en votre cervelle ! |
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| Dont se puisse indigner celle qui l'a fait naître. |
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| Voici, grâces au Ciel, ce qui les a fait naître, |
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| Et qu'un pareil objet dans mon âme fait naître |
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| J'ignore pour quel sort mon astre m'a fait naître ; |
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| Non, insolent, je ne veux point m'asseoir ni parler davantage, et je vois bien que toutes mes paroles ne font rien sur ton âme ; mais sache, fils indigne, que la tendresse paternelle est poussée à bout par tes actions, que je saurais plutôt que tu ne penses mettre cette borne à tes dérèglements, prévenir sur toi le courroux du Ciel, et laver par ta punition la honte de t'avoir fait naître. |
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| Que l'Amour veut, partout, naître sans Dépendance ; |
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| Que le Ciel, pour ce Nœud, ne m'avait point fait naître ; |
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| Et d'où peut naître ce grand trouble ! |
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| Pour défense toujours, ont ce qui les fait naître ; |
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| Lui-même soit d'accord du sang qui m'a fait naître, |
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| Que ses doux charmes y font naître ; |
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| Je trouve que toute imposture est indigne d'un honnête Homme, et qu'il y a de la lâcheté à déguiser ce que le Ciel nous a fait naître ; à se parer aux yeux du monde d'un Titre dérobé, à se vouloir donner pour ce qu'on n'est pas. |
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| Chez toi, doit naître un Fils, qui sous le nom d'Hercule, |
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| Et chez nous il doit naître un Fils d'un très grand cœur, |
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| C'est le jeune Myrtil qui fait naître mes feux. |
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| Je lui dis que ses yeux ont fait naître en mon âme |
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| La Nature est ma mère et le sort m'a fait naître, |
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