Si votre Amour, au mien, lui semble préférable… |
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si pour son Prochain il avait quelque amour, |
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Je vous aime trop pour cela ; et mon amour pour vous, durera autant que ma vie. |
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De tout ce que vous avez dit, ce n'est que par mon seul amour que je prétends auprès de vous mériter quelque chose ; et quant aux scrupules que vous avez, votre Père, lui-même, ne prend que trop de soin de vous justifier à tout le monde ; et l'excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses Enfants, pourraient autoriser des choses plus étranges. |
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Je vous dis tout cela, ma Sœur, afin que vous ne vous donniez pas la peine de me le dire : car enfin, mon amour ne veut rien écouter, et je vous prie de ne me point faire de remontrances. |
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Figurez-vous, ma Sœur, quelle joie ce peut être, que de relever la fortune d'une Personne que l'on aime ; que de donner adroitement quelques petits secours aux modestes nécessités d'une vertueuse Famille ; et concevez quel déplaisir ce m'est, de voir que par l'avarice d'un Père, je sois dans l'impuissance de goûter cette joie, et de faire éclater à cette Belle aucun témoignage de mon amour. |
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Résolument, par force, ou par amour, |
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Essayez un peu par plaisir à m'envoyer des ambassades, à m'écrire secrètement de petits billets doux, à épier les moments que mon mari n'y sera pas, ou le temps que je sortirai pour me parler de votre amour. |
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Oui, il faut qu'une fille obéisse à son Père. |
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Mon amour, que gênaient tous ces soins éclatants, |
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Mais par quelle raison lui faire un mystère de votre amour ? |
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Question
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Et pour les bien goûter, mon amour, chère Alcmène, |
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Dont s'embarrasse votre amour. |
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Non, pour vous dire la chose en deux mots, je m'appelle Léandre, qui suis amoureux de Lucinde, que vous venez de visiter : et comme, par la mauvaise humeur, de son Père, toute sorte d'accès m'est fermé auprès d'elle, Je me hasarde à vous prier de vouloir servir mon amour : et de me donner lieu d'exécuter un Stratagème que j'ai trouvé, pour lui pouvoir dire deux mots, d'où dépendent, absolument, mon bonheur, et ma vie. |
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Comment oser vous adresser à moi, pour vous servir dans votre amour, et vouloir ravaler la Dignité de Médecin, à des Emplois de cette nature ? |
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Question
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Allons, Monsieur, vous m'avez donné pour votre amour, une Tendresse qui n'est pas concevable : et j'y perdrai toute ma Médecine, ou la Malade crèvera, ou bien elle sera à vous. |
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Pour moi, dès que j'ai eu découvert la violence de cet Amour, j'ai su tenir toujours ma Fille renfermée. |
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Et rendre aux soins de votre amour, |
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Que même votre amour |
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Dont mon amour ne s'intimide ! |
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Et jamais votre amour, en pareille occurrence, |
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Et mon amour en vain voudrait me l'obscurcir. |
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Et la Fille correspond-elle fort à votre amour ? |
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Question
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c'est qu'il faut songer, s'il vous plaît, à vous défaire de votre amour ; à cesser toutes vos poursuites auprès d'une Personne que je prétends pour moi ; et à vous marier dans peu avec celle qu'on vous destine. |
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Comment
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Je suis épris d'une jeune Personne qui répond à mes vœux, et reçoit tendrement les offres de ma foi ; et mon Père s'avise de venir troubler notre amour, par la demande qu'il en fait faire. |
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