Vous ferez ce que vous voudrez, vous savez que je ne manque point de cœur, et que je sais me servir de mon épée quand il le faut, je m'en vais passer tout à l'heure dans cette petite rue écartée qui mène au grand convent, mais je vous déclare pour moi que ce n'est pas moi qui me veux battre ; le Ciel m'en défend la pensée, et si vous m'y attaquez nous verrons ce qui en arrivera. |
|
Comment
|
De cette occasion que j'ai de vous servir. |
|
Comment
|
Que de l'avoir en main, et ne m'en pas servir. |
|
Comment
|
Et voudrais le servir du meilleur de mon âme : |
|
Comment
|
Oui, je vais vous servir de la bonne façon. |
|
Comment
|
Il prend soin d'y servir des Mets fort délicats. |
|
Comment
|
On peut, pour vous servir, remuer des Machines, |
|
Comment
|
Perfide, vous servir de ma faiblesse extrême, |
|
Comment
|
Apprenez, s'il vous plaît, que ce n'est pas à vous à vous servir de ce mot-là avec une personne de ma condition ; Que tout notre gendre que vous soyez, il y a grande différence de vous à nous, et que vous devez vous connaître. |
|
Comment
|
Je vois bien qu'il faut se servir du remède. |
|
Comment
|
Poussez, c'est moi qui vous le dis, ce sera fort bien employé, et je m'offre à vous y servir, puisqu'il m'en a déjà taxée. |
|
Comment
|
Je suis ravi, Monsieur, que votre Fille ait besoin de moi : et je souhaiterais de tout mon cœur, que vous en eussiez besoin, aussi, vous et toute votre Famille, pour vous témoigner l'envie que j'ai de vous servir. |
|
Comment
|
Je n'ai pu me servir avec cet innocent de la pensée que j'avais. |
|
Comment
|
Comment oser vous adresser à moi, pour vous servir dans votre amour, et vouloir ravaler la Dignité de Médecin, à des Emplois de cette nature ? |
|
Question
|
Frosine, ma pauvre Frosine, voudrais-tu nous servir ? |
|
Question
|
Madame, voilà un Illustre, votre affaire ne pouvait être mise en de meilleures mains,
et c'est le Héros de notre Siècle pour les exploits dont il s'agit : Un Homme qui
vingt fois en sa vie pour servir ses Amis, a généreusement affronté les Galères ; qui
au péril de ses bras et de ses épaules, sait mettre noblement à fin les aventures les
plus difficiles ; et qui, tel que vous le voyez, est exilé de son Pays pour je ne sais
combien d'actions honorables qu'il a généreusement entreprises. |
|
Comment
|
Non, Monsieur, ce n'est pas moi qui suis le Médecin ; à moi n'appartient pas cet honneur, et je ne suis qu'Apothicaire, Apothicaire indigne, pour vous servir. |
|
Comment
|
Oui, Monsieur, vous avez dépeint fort graphiquement, graphice depinxisti, tout ce qui appartient à cette maladie ; il ne se peut rien de plus doctement, sagement, ingénieusement conçu, pensé, imaginé, que ce que vous avez prononcé au sujet de ce mal, soit pour la diagnose, ou la prognose, ou la thérapie ; et il ne me reste rien ici, que de féliciter Monsieur, d'être tombé entre vos mains, et de lui dire qu'il est trop heureux d'être fou, pour éprouver l'efficace et la douceur des remèdes que vous avez si judicieusement proposés : Je les approuve tous, manibus et pedibus descendo in tuam sententiam.Tout ce que j'y voudrais, c'est de faire les saignées et les purgations en nombre impair, Numero Deus impari gaudet : de prendre le lait clair avant le bain ; de lui composer un fronteau où il entre du sel ; le sel est symbole de la sagesse : de faire blanchir les murailles de sa chambre, pour dissiper les ténèbres de ses esprits, album est disgregativum visus, et de lui donner tout à l'heure un petit Lavement, pour servir de prélude et d'introduction à ces judicieux remèdes, dont s'il a à guérir, il doit recevoir du soulagement. |
|
Comment
|
Le mot de Galante aussi n'est pas assez ; celui de Coquette achevée, me semble propre à ce que nous voulons, et je m'en puis servir, pour vous dire honnêtement ce qu'elle est. |
|
Comment
|
Pour moi, je ne regarde rien, quand il faut servir un Ami ; et lorsque vous me fîtes confidence de l'ardeur que vous aviez prise pour cette Marquise agréable chez qui j'avais commerce, vous vîtes que d'abord je m'offris de moi-même à servir votre amour. |
|
Comment
|
Quittent pour la servir les soins de s'entr'aimer. |
|
Comment
|
Tiendrai-je à vous servir mes armes toujours prêtes, |
|
Comment
|
Je venais te chercher pour servir mon ardeur, |
|
Comment
|
Et je m'en trouve bien, quand je veux m'en servir. |
|
Comment
|
Pour servir de victime à ses plus grands désirs. |
|
Comment
|