Soit : pourvu que toujours je branle le menton : |
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(En cet endroit, il tire Géronte à un bout du théâtre, et lui passant un bras sur les épaules, lui rabat la main sous le menton, avec laquelle il le fait retourner vers lui, lorsqu'il veut regarder ce que sa fille et l'apothicaire font ensemble, lui tenant, cependant, le discours suivant pour l'amuser.) |
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