Vous savez que sa bile assez souvent s'aigrit, |
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Vous savez le contraire, et qu'il est très certain, |
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Vous savez mon talent, je m'offre à vous servir. |
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Vous savez que je suis quelque peu d'un métier, |
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Vous savez à merveille en toutes aventures |
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Vous le savez, Célie, il n'est rien que mon cœur |
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Comment
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Aux traits, dont à l'abord vous savez les frapper ; |
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Comment
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J'avais, vous le savez, en mes mains votre fille, |
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Comment
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Vous savez le bonheur que le Ciel me renvoie ; |
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Où vous savez. |
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Comment
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Où vous savez. |
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Comment
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Où vous savez. |
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Qui sais… Oui, vous savez la secrète raison |
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Vous savez que dans celle où passa mon bas âge |
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vous ne savez pas ? |
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Question
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Mon fils me rend chagrin ; vous savez que je l'aime, |
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Vous savez de tout temps que je suis un bon frère. |
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Ce sont ceux qui donnent le branle à la réputation dans Paris ; et vous savez qu'il y en a tel, dont il ne faut que la seule fréquentation, pour vous donner bruit de connaisseuse, quand il n'y aurait rien autre chose que cela. |
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Comment
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Vous en savez la cause et je m'en vais l'apprendre |
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Suffit, vous savez bien où le bois me fait mal ; |
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que vous savez bien, ici contre moi-même, |
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Comment
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Mais, enfin, vous savez comme nos destinées, |
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Comment
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Si vous le savez, je ne vous l'apprends pas. |
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Comment
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Vous savez bien de quoi je veux parler ; |
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Comment
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Car enfin vous savez, qu'il n'est grands, ni petits, |
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Comment
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