| Je bénirai le Ciel, de ce rare Bonheur ! |
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| J'ai depuis quarante ans, grâce au Ciel, le bonheur |
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| Le Ciel vous tienne tous en joie. |
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| À ceux à qui le Ciel en a commis le Soin. |
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| Et je demande au Ciel, de m'être assez propice, |
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| Le Ciel ne m'a point fait, en me donnant le Jour, |
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| Et je suis, pour le Ciel, appris à tout souffrir. |
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| Comme du Ciel, l'Infâme, impudemment se joue ! |
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| De l'humeur dont le Ciel a voulu le former, |
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| Ô juste Ciel ! |
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| Que le Ciel soit loué ! |
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| Que le Ciel soit loué ! |
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| Ô Ciel ! |
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| Que le Sort, les Démons, et le Ciel, en courroux, |
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| Ciel ! |
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| Que le Ciel, en naissant, ne vous eût donné rien, |
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| Me préserve le Ciel que vous ayez matière… |
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| Il va vêtu d'une façon extravagante, affecte, quelquefois, de paraître ignorant, tient sa Science renfermée, et ne fuit rien tant tous les jours, que d'exercer les merveilleux Talents qu'il a eus du Ciel, pour la Médecine. |
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| Mais avant que d'aller plus loin, je sais que je dépends d'un Père, et que le nom de Fils me soumet à ses volontés ; que nous ne devons point engager notre foi, sans le consentement de ceux dont nous tenons le jour ; que le Ciel les a faits les maîtres de nos vœux, et qu'il nous est enjoint de n'en disposer que par leur conduite ; que n'étant prévenus d'aucune folle ardeur, ils sont en état de se tromper bien moins que nous, et de voir beaucoup mieux ce qui nous est propre ; qu'il en faut plutôt croire les lumières de leur prudence, que l'aveuglement de notre passion ; et que l'emportement de la jeunesse nous entraîne le plus souvent dans des précipices fâcheux. |
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| plût au Ciel que votre âme comme la mienne… |
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| Ô Ciel ! |
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| Tout mon malheur est de le trop considérer, et plût au Ciel que je fusse capable de souffrir, comme il dit, les galanteries de quelqu'un, je ne serais pas tant à plaindre. |
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| Voilà qui crie vengeance au Ciel ; et à vous prendre depuis les pieds jusqu'à la tête, il y aurait là de quoi faire une bonne constitution. |
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| Ciel ! |
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| Et, plût au Ciel, le fût-il moins ! |
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