Il suffit, je n'en veux pas ouïr davantage, et je m'accuse moi-même d'en avoir trop entendu, c'est une lâcheté que de se faire expliquer trop sa honte, et sur de tels sujets, un noble cœur, au premier mot, doit prendre son parti ; n'attends pas que j'éclate ici en reproche et en injures, non, non, je n'ai point un courroux à exhaler une parole vaine, et toute sa chaleur se réserve pour ma vengeance ; je te le dis encore, le Ciel te punira, perfide, de l'outrage que tu me fais, et si le Ciel n'a rien que tu puisses appréhender, appréhende au moins la colère d'une femme offensée. |
|
Comment
|
Par l'ardeur dont au Ciel il poussait sa prière : |
|
Comment
|
Enfin le Ciel, chez moi, me le fit retirer, |
|
Comment
|
Monsieur j'avoue que vous m'étonnez, à présent que nous sommes échappés d'un péril de mort, qu'au lieu de rendre grâce au ciel de la peine qu'il a daigné prendre de nous, vous travaillez tout de nouveau à vous attirer sa colère par vos fantaisies accoutumées et vos amours cr… paix, coquin que vous êtes, vous ne savez ce que vous dites, et Monsieur sait ce qu'il fait, allons |
|
Comment
|
non, non, c'est profaner tant de beauté, et vous n'êtes pas née pour demeurer dans un Village ; vous méritez sans doute une meilleure fortune, et le Ciel qui le connaît bien m'a conduit ici tout exprès pour empêcher ce mariage, et rendre justice à vos charmes ; car enfin, belle Charlotte, je vous aime de tout mon cœur, et il ne tiendra qu'à vous que je ne vous arrache de ce lieu misérable, et ne vous mette dans l'état où vous méritez d'être ; cet amour est bien prompt sans doute ; mais quoi ! |
|
Comment
|
Je vous le garantis défunt dans le temps que je dis ; et je n'aurai pas longuement à demander pour moi au Ciel, l'heureux état de Veuve. |
|
Comment
|
que le Ciel. |
|
Comment
|
De l'intérêt du Ciel, leur fier ressentiment ; |
|
Comment
|
Les intérêts du Ciel, plus qu'il ne veut lui-même. |
|
Comment
|
Le Ciel en soit loué. |
|
Comment
|
Le Ciel en soit loué. |
|
Comment
|
Loué soit le Ciel ! |
|
Comment
|
Je veux savoir un peu vos pensées à fonds ; est-il possible que vous ne croyez point du tout au Ciel ? |
|
Question
|
Je voudrais bien vous demander qui a fait ces orbes-là, ces rochers, cette terre, et ce Ciel que voilà là-haut, et si tout cela s'est bâti de lui-même ; vous voilà vous par exemple, vous êtes là ; est-ce que vous vous êtes fait tout seul, et n'a-t-il pas fallu que votre père ait engrossé votre mère pour vous faire ? |
|
Question
|
je veux frapper des mains, hausser le bras, lever les yeux aux Ciel, baisser la tête, remuer les pieds, aller à droit, à gauche, en avant, en arrière, tourner, |
|
Comment
|
Je suis un Pauvre homme, Monsieur, retiré tout seul dans ce bois depuis plus de dix ans, et je ne manquerai pas de prier le Ciel qu'il vous donne toute sorte de biens. |
|
Comment
|
Est responsable au Ciel des fautes qu'elle fait. |
|
Comment
|
Eh prie le Ciel qu'il te donne un habit, sans te mettre en peine des affaires des autres. |
|
Comment
|
De prier le Ciel tout le jour pour la prospérité des gens de bien qui me donnent quelque chose. |
|
Comment
|
Tu te moques, un homme qui prie le Ciel tout le jour ne peut pas manquer d'être bien dans ses affaires. |
|
Comment
|
Enfin, avec le Ciel, l'autre est le mieux du monde, |
|
Comment
|
Faites boire là nos chevaux, et qu'on les amène après nous, je veux un peu marcher à pied. Ô Ciel que vois-je ici ! |
|
Comment
|
Arrêtez vous dis-je, mon frère, je ne souffrirai point du tout qu'on attaque ses jours et je jure le Ciel que je le défendrai ici contre qui que ce soit, je saurai lui faire un rempart de cette même vie qu'il a sauvée, et pour adresser vos coups il faudra que vous me perciez. |
|
Comment
|
que nous savons peu ce que nous faisons, quand nous ne laissons pas au Ciel le soin des choses qu'il nous donne, quand nous voulons être plus avisés que lui, et que nous venons à l'importuner par nos souhaits aveugles et nos demandes inconsidérées ! |
|
Comment
|
j'ai souhaité un fils avec des ardeurs nonpareilles, je l'ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils, que j'obtiens en fatiguant le Ciel de vœux, est le chagrin et le supplice de cette même vie dont je croyais qu'il devait être la joie et la consolation : De quel œil, à votre avis, pensez-vous que je puisse voir cet amas d'actions indignes, dont on a peine aux yeux du monde d'adoucir le mauvais visage ? |
|
Question
|