Pour moi, dans ses discours, comme dans son visage, |
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Oui, vraiment, ce visage est encor fort mettable ; |
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Monsieur, votre visage en un moment s'altère, |
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jamais l'air d'un visage, |
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Peut-on lever le masque et voir votre visage ? |
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Pourraient-ils pas avoir changé tout son visage ? |
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Question
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Le visage, le port… |
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Le visage, le port… Cela pourrait-il être ? |
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Question
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Aurait peine à pouvoir connaître mon visage ? |
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Question
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Et mon visage aussi par son émotion, |
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Andrès, ayant changé quelque temps de visage, |
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Il change de visage. |
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Pour suivre son chemin m'a tourné le visage : |
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Vois attentivement les traits de ce visage, |
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Ce visage si propre à donner de l'amour, |
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Soit vu par d'autres yeux sous un autre visage. |
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Voyez bien ce visage, et si de Done Ignès, |
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Si les faibles attraits qu'étale mon visage, |
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Que sa confusion paraît sur son visage. |
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Au visage, sur l'heure, un rouge m'est monté, |
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On est ravi de découvrir ce qu'il y peut avoir à redire ; et pour tomber dans l'exemple, il y avait l'autre jour des Femmes à cette Comédie, vis-à-vis de la Loge où nous étions, qui par les mines qu'elles affectèrent durant toute la Pièce ; leurs détournements de tête ; et leurs cachements de visage, firent dire de tous côtés cent sottises de leur conduite, que l'on n'aurait pas dites sans cela ; et quelqu'un même des Laquais cria tout haut, qu'elles étaient plus chastes des oreilles que de tout le reste du corps. |
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Levez un peu la tête, et tournez le visage. |
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Lorsque changeant pour moi de ton et de visage |
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Et je souffletterais mille fois mon visage, |
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tu veux qu'on se lie à demeurer au premier objet qui nous prend, qu'on renonce au monde pour lui, et qu'on n'ait plus d'yeux pour personne ; la belle chose de vouloir se piquer d'un faux honneur, d'être fidèle, de s'ensevelir pour toujours dans une passion, et d'être mort dès sa jeunesse pour toutes les autres beautés qui nous peuvent frapper les yeux ; non non, la constance n'est bonne que pour des ridicules : toutes les belles ont droit de nous charmer, et l'avantage d'être rencontrée la première, ne doit point dérober aux autres les justes prétentions qu'elles ont toutes sur nos cœurs ; pour moi, la beauté me ravit partout où je la trouve, et je cède facilement à cette douce violence où elle nous entraine ; J'ai beau être engagé, l'amour que j'ai pour une belle n'engage point mon âme à faire une injustice aux autres ; Je conserve des yeux pour voir le mérite de toutes, et je rends à chacune les hommages et les tributs où la nature nous oblige ; quoi qu'il en soit je ne puis refuser mon cœur à tout ce que je vois d'aimable, et dès qu'un beau visage me le demande, si j'en avais dix mille, je les donnerais tous : les inclinations naissantes après tout ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l'amour est dans le changement : on goûte une douceur extrême à réduire, par cent hommages, le cœur d'une jeune beauté, à voir de jour en jour les petits progrès qu'on fait, à combattre par des transports, par des larmes et des soupirs, l'innocente pudeur d'une âme qui a peine à rendre les armes, à forcer pied à pied toutes les petites résistances qu'elle nous oppose, à vaincre les scrupules dont elle se fait un honneur, et à la mener doucement où nous avons envie de la faire venir ; mais lorsqu'on est maître une fois, il n'y a plus rien à dire ni rien à souhaiter, tout le beau de la passion est fini, et nous nous endormons dans la tranquillité d'un tel amour, si quelque objet nouveau ne vient réveiller nos désirs, et présenter à notre cœur les charmes attrayants d'une conquête à faire ; enfin il n'est rien de si doux que de triompher de la résistance d'une belle personne, et j'ai sur ce sujet l'ambition des conquérants qui volent perpétuellement de victoire en victoire, et ne peuvent point se résoudre à borner leurs souhaits ; il n'est rien qui puisse arrêter l'impétuosité de mes désirs, je me sens porté à aimer toute la terre, et comme Alexandre je souhaiterais qu'il y eût d'autres mondes pour y pouvoir étendre mes conquêtes amoureuses. |
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